À la bonne nôtre

Elle ne s’est jamais rien refusé, ni une retraite à la dure, sous tente au sommet des Pyrénées pour se vider l’esprit et écrire "Le grand jeu", ni une excursion au Far-West (sans y avoir jamais mis les pieds) pour "Faillir être flingué", pas plus qu’elle n’a reculé devant une épopée pour guerrière kung-fu jactant en vieux français ("Bastard battle"). Pourquoi diable refuserait-elle d’entrer en 2019 précédée d’un commando de travestis en talons aiguille?