L'informaticien du futur

De plus en plus d’entreprises font appel à des agences de recrutement spécialisées pour pourvoir leurs postes d’informaticiens. Et notre pays ne fait pas exception à la règle. Hays Technology met en relation les meilleurs candidats de Wallonie, de Flandre et de Bruxelles avec des emplois temporaires ou permanents dans le domaine informatique. “Au cours des prochaines années, nous souhaitons renforcer cette expertise et devenir leaders du marché belge.”

Ypto est la société informatique derrière la numérisation de la SNCB. D'une part, l'entreprise repose sur la structure stable d'une organisation gouvernementale; de l'autre, elle possède la dynamique et l’agilité d'une PME. “Les informaticiens peuvent imaginer, développer et mettre en œuvre de nouvelles innovations au sein d’une seule entreprise”, assure Guido Lemeire, CEO d’Ypto et CIO de la SNCB.

Dedalus fournit des logiciels intelligents et des solutions diagnostiques et cliniques innovantes au secteur des soins de santé. Dans ce segment de marché, l'entreprise est désormais une autorité mondiale et le leader en Europe. “Nos nombreuses innovations numériques améliorent la qualité des soins. Pour les professionnels de la santé, les patients, les citoyens et les décideurs politiques.”

Depuis le mois de juin, le prestataire de services technologiques Ausy, qui fait partie du spécialiste des ressources humaines Randstad, se concentre pleinement sur l'ingénierie, l'informatique et les solutions numériques. “Nous inspirons nos clients et nos talents par notre passion pour la technologie”, souligne Andy Stynen, CEO d'Ausy Belux et CDO d’Ausy Group. “Nos experts conçoivent et bâtissent des solutions technologiques qui ont exactement l’impact souhaité.”

Les informaticiens sont des denrées rares sur le marché du travail: ils peuvent se permettre le luxe de choisir leur employeur et placent donc la barre assez haut. Cinq spécialistes s’accordent toutefois sur un point: l’informaticien-type n’existe plus. Il n’est même plus nécessaire de disposer du bon diplôme afin d’être pris en considération pour un emploi dans l’informatique. “L’image de notre secteur est souvent erronée, ce qui décourage certains jeunes de se lancer dans la profession.”