Zakia Khattabi, à part l’une ou l’autre émission d’amusement politique – devine qui vient dîner à la maison, ce soir – est absente des grands débats, des grandes interviews, de la campagne électorale. Et c’est bien dommage.
Il est certaines soirées ucclo-uccloise à ne pas manquer au cours de l’année si l’on se targue de connaître cet étrange microcosme politico-économico-médiatique qu’est la (riche) vie locale du 1180.
Pourquoi ces journalistes d’expérience quittent-ils le champ médiatique pour les sirènes de la politique en brûlant au passage tous leurs navires? Ou plutôt: comment la sphère journalistique ne parvient-elle pas à conserver ses talents et ses piliers d’expérience?
Je vous emmène dans les coulisses de la matinale de Bel RTL, où, durant cinq ans, à 7h50, j'ai interviewé le gratin politique belgo-belge, où j'ai surtout vu, derrière le masque, la vitrine et la façade, les femmes et hommes qui font la politique et l'économie de ce pays.
Deux responsables politiques qui ont d'ailleurs tiré leur révérence poussent un cri d'alarme sur le mauvais état de l'enseignement francophone. On va dans le mur, dit Didier Gosuin. On est très mal, embraye Françoise Bertieaux. Reste, à côté du chantier de l’enseignement, le pourquoi du comment de ces départs.
Au champ de bataille de la lutte contre le réchauffement climatique et pour une meilleure qualité de l’environnement, Olivier Deleuze est un général quatre étoiles.
C’est sans doute cela qu’on appelle "la bulle" politico-médiatique: des journalistes et des responsables auxquels on a inoculé un seul et même virus, celui de la politique.
La priorité de la N-VA est de contrecarrer la remontada politique du Vlaams Belang. Et là, il faut reconnaître que la formation d’extrême-droite marque des points.