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Le nouveau président des États-Unis a signé une série de décrets devant concrétiser ses promesses de campagne aussitôt entré en fonction. Immigration, climat, énergie... Voici ses premières décisions.

Donald Trump s'en est pris avec férocité à son prédécesseur, Joe Biden, dans son discours d'investiture. Il a promis d'expulser des millions de migrants illégaux et signé un décret sortant les États-Unis de l'accords de Paris sur le Climat.

Le vœu d'un monde sans frontières qui avait présidé à la création du Forum économique mondial est aujourd'hui mis à mal par le retour du nationalisme et du protectionnisme.

Donald Trump compte frapper fort directement. Son retour à la présidence devrait être marqué par des actions musclées. Une série de décrets seraient déjà prêts.

Quelque 300 manifestants ont demandé la fin du Forum économique mondial dimanche, à Davos, une station de ski huppée des Alpes suisses, ont constaté des reporters de l'AFP.

L'intervention de Trump a permis l'accord sur la trêve à Gaza. L'accord reste fragile, le gouvernement israélien doit encore se prononcer vendredi.

Israël et le Hamas ont conclu un accord de cessez-le-feu qui doit entrer en vigueur le 19 janvier. Dans un premier temps, 33 otages israéliens seront libérés en échange d'un millier de prisonniers palestiniens.

La défaite de Kamala Harris, poussée au premier plan en pleine campagne, a mis le parti démocrate au tapis. Il a tout intérêt à se reconstruire avant les prochaines élections du Congrès, prévues en 2026.

Joe Biden a relancé l'économie américaine, retissé des liens avec l'Europe et renforcé l'Otan. Desservi par son âge et une communication défaillante, il n'a pu éviter la dégringolade en fin de mandat.

Les tensions géopolitiques, la désinformation et le risque climatique sont les principales menaces qui pèsent sur l’économie mondiale à court et moyen terme.

McKinsey épingle la dégradation dramatique du contexte géopolitique mondial, tandis qu’Oxfam dénonce le creusement continu des inégalités.

Le président des extrémistes de droite flamands se rendra le 20 janvier à Washington pour l'investiture de Donald Trump, à laquelle il a été convié.

Le gouvernement américain sortant aux États-Unis a annoncé vendredi avoir pris de nouvelles sanctions contre le secteur énergétique russe pour saper "la plus grande source de financement du Kremlin" mise au service de l'effort de guerre en Ukraine.

Donald Trump prépare une rencontre avec le président russe Vladimir Poutine, après avoir repoussé de plusieurs mois le délai qu'il s'était donné pour obtenir un cessez-le-feu en Ukraine.

L'interview de la dirigeante de l'AfD, menée sur X par son patron Elon Musk, fut l'occasion pour le milliardaire de soutenir sans réserve le parti d'extrême droite allemande.

Selon une analyse d'Oxfam, les 1% les plus riches du monde ont épuisé leur part du budget annuel mondial de carbone au cours des dix premiers jours de 2025.

Onze jours avant l'investiture de Donald Trump, la cinquantaine de pays alliés de l'Ukraine ont réitéré leur soutien. Zelensky, présent à la rencontre, les a exhortés à accroître leur coopération.

Le président élu américain veut intégrer le Groenland aux États-Unis. Restée muette face à ces déclarations, l'Union européenne sort du silence ce jeudi.