Clôture des marchés européens
FOOTSIE 0,91%
CAC 40 +0,75%
DAX +0,66%
BEL 20 +0,64%
AEX +0,59%
STOXX Europe 600 -0,04%
FOOTSIE 0,91%
CAC 40 +0,75%
DAX +0,66%
BEL 20 +0,64%
AEX +0,59%
STOXX Europe 600 -0,04%
Les stocks de pétrole brut ont progressé de façon inattendue la semaine dernière aux Etats-Unis, à raison de 400.000 barils, selon des chiffres publiés mercredi par le département américain de l'Énergie (DoE).
Lors de la semaine achevée le 3 juillet, les réserves commerciales de brut ont augmenté de 400.000 barils, à 465,8 millions, alors que les experts interrogés par l'agence Bloomberg attendaient une stagnation, tandis que les réserves au terminal de Cushing (Oklahoma, sud) ont progressé de 300.000 barils et que la production nationale de pétrole a légèrement augmenté, à raison de 9.000 barils par jour.
L'Etat britannique compte vendre les trois quarts au moins de sa participation dans Royal Bank of Scotland d'ici à mai 2020, levant ainsi 25 milliards de livres (34,75 milliards d'euros), a déclaré mercredi UK Financial Investments (UKFI), l'organisme qui gère ses avoirs dans la banque.
James Leigh-Pemberton, le président de l'UKFI, explique, dans une lettre adressée au ministre des Finances George Osborne, qu'il serait également possible de lever au moins deux milliards de livres (2,78 milliards d'euros) de la cession d'actions RBS sur l'exercice 2015/2016.
RBS a été secourue par l'Etat lors de la crise financière de2007-2009 pour un coût de 45,8 milliards de livres, moyennant une entrée au capital à hauteur de 78%.
Pour l'Etat, le sauvetage se traduit pour l'heure par une perte de quelque 14 milliards de livres, au cours de Bourse, ce qui implique que les premières ventes risquent de se faire à perte.
Toutefois, l'action RBS bénéficierait, pense-t-on, de la résolution dans les 12 mois à venir de la majorité des litiges liés à aux errements passés de la banque et de sa restructuration qui la recentrerait sur le crédit aux ménages et entreprises britanniques.
L'action sera en outre plus liquide une fois que Londres aura commencé à se désengager.
"Nous pensons que l'investissement RBS continuera d'évoluer, ce qui créera de nouvelles opportunités de cession profitables pour le contribuable britanniques dans les années à venir".
Les négociations sur la création d'une taxe sur les transactions financières devraient se conclure cette année en vue d'une mise en place début 2017 dans les onze pays européens impliqués, a estimé mercredi le commissaire européen aux Affaires économiques et monétaires Pierre Moscovici.
"J'ai l'impression que tout ça va atterrir au courant de l'automne 2015 pour une mise en oeuvre autour du début 2017".
Le directeur général adjoint de BNP Paribas, Alain Papiasse, a souligné lors des rencontres Paris Europlace que tous les établissements financiers présents dans les pays qui appliqueront la taxe sur les transactions réfléchissaient à des délocalisations d'activités vers Londres, la Grande-Bretagne n'étant pas partie prenante aux négociations.
"Le risque majeur pour l'Union européenne et les ministres des Finances concernés, c'est une taxe qui ne leur rapporte rien et les opérations qui vont se déplacer au grand bénéfice d'une place que nous respectons tous mais qui se pose la question de rester dans l'Union ou pas", a-t-il dit.
Microsoft annonce la suppression de 7.800 emplois, essentiellement dans les téléphones. Il compte passer une charge de 7,6 milliard de dollars.
Le gouvernement grec promulguera mercredi un décret ministériel prolongeant une fermeture des banques qui a déjà duré huit jours ouvrables, a
déclaré un haut fonctionnaire gouvernemental.
"La fermeture des banques sera prolongée", a dit le haut fonctionnaire, sans autre précision.
La Banque Degroof passe à "accumuler" contre "neutre" sur Barco. L'objectif de cours est de 65 euros.
La chaîne de supermarchés américaine Albertsons, récemment fusionnée avec Safeway, a déposé mercredi auprès des autorités boursières une notice d'information sur sa future introduction en Bourse.
Citigroup, Morgan Stanley, Goldman Sachs et Merrill Lynch, Pierce Fenner & Smith superviseront l'IPO.
Albertsons est la propriété du fonds de capital investissement Cerberus Capital Management, lequel a racheté la chaîne Safeway pour la fusionner avec Albertsons cette année afin de créer une importante chaîne d'épiceries sur la côte ouest des Etats-Unis.
La Grèce s'engage à réformer dès la semaine prochaine son système de retraites et sa fiscalité pour obtenir de ses partenaires européens un prêt de trois ans couvrant les remboursements de sa dette, écrit-elle dans une lettre adressée mercredi au Mécanisme européen de stabilité (MES).
Dans cette missive rendue publique par le gouvernement d'Alexis Tsipras, Athènes promet aussi d'honorer ses obligations financières et de détailler d'ici jeudi ses propositions pour qu'elles soient examinées par ses créanciers.
"Nous avons confiance dans le fait que les Etats membres comprennent l'urgence de notre demande de prêt étant donné la fragilité de notre système bancaire, notre pénurie de liquidités disponibles, nos obligations à venir, notre accumulation d'arriérés sur le plan intérieur et notre volonté affichée d'apurer nos arriérés vis-à-vis du FMI et de la Banque de Grèce."
La zone euro a reçu une demande pour un nouveau programme d'aide.
Les valeurs du secteur automobile figurent mercredi parmi les plus forts reculs enregistrés sur les marchés européens, une baisse consécutive à la publication de nouvelles données semblant confirmer le ralentissement du marché chinois, selon des traders.
L'indice européen des constructeurs et équipementiers automobiles, cède 1,6%.
Selon la China Passenger Car Association, les ventes de véhicules ont reculé de 3,2% en juin, ce qui représente selon
des traders la plus mauvaise performance mensuelle depuis février 2013.
Le constructeur américain Ford a de son côté fait état d'un recul de 3% de ses ventes sur le marché chinois en juin en
rythme annuel, après une progression de 4% en mai.
La Bourse de Shanghai a dévissé de près de 6% mercredi en clôture, dans un climat de panique générale en dépit de nouvelles mesures d'urgence des autorités et de la suspension des échanges sur quelque 1.300 titres des marchés chinois.
L'indice composite shanghaïen a terminé sur un plongeon de 5,90%, soit 219,93 points, à 3.507,19 points, dans un volume d'échanges de 700,2 milliards de yuans (104 milliards d'euros). Le marché shanghaïen a lâché jusqu'à 8,20% en cours de séance après avoir sombré en chute libre à l'ouverture.
La Bourse de Shenzhen a mieux résisté, reculant de 2,50% à 1.884,45 points.
La débâcle s'est poursuivie mercredi dans l'affolement général, qu'aucune admonestation du gouvernement ne parvenait à endiguer, et alors que la Bourse hongkongaise trébuchait dans le sillage de Shanghai.
Les autorités chinoises de régulation ont pourtant dévoilé précipitamment tout un train de nouvelles mesures adoptées à marche forcée.
De l'avis général, les autorités chinoises pourraient intervenir encore davantage pour stopper l'hémorragie et éviter un imprévisible mécontentement populaire. Une question de crédibilité pour Pékin, qui s'appuyait sur les Bourses pour financer le décollage du secteur privé, approfondir ses réformes du secteur financier et ses efforts de rééquilibrage économique.
Même si la crise grecque n'arrange pas les choses, la raison principale de la sévère correction des place chinoises est à chercher localement. La Bourse de Shanghai avait gonflé de 150% en douze mois, dopée par un endettement massif et déconnectée de l'économie réelle.
Le Premier ministre grec Alexis Tsipras s'adresse ce matin aux parlementaires européens, au lendemain de l'ultimatum que lui ont fixé ses partenaires de la zone euro pour présenter des réformes crédibles et éviter le "chaos" financier au pays.
Après avoir rencontré mardi à Bruxelles ses partenaires des 18 autres pays de l'union monétaire, qui envisagent désormais ouvertement le "scénario noir" du Grexit si aucun accord n'est trouvé sur un nouveau plan d'aide à Athènes, Alexis Tsipras doit prendre la parole dans l'hémicycle de Strasbourg aux côtés du président du Conseil européen, Donald Tusk, et du président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker.
La zone euro, où l'urgence grandit, attend désormais de la Grèce, dont les caisses sont vides, qu'elle présente d'ici à jeudi un programme de réformes afin de permettre une reprise des négociations sur un plan d'aide financière. Ensuite, un accord devra être trouvé d'ici dimanche, date d'un sommet extraordinaire des 28 chefs d'Etat ou de gouvernement européens.
Les actionnaires du cimentier français Lafarge valident la fusion avec le suisse Holcim. Selon un résultat encore provisoire, Holcim détient au terme de l'offre publique d'échange 87,46% du capital et au moins 81,47% des droits de vote de Lafarge, soit 252.230.673 actions. Le résultat définitif de l'offre sera publié jeudi.
La Bourse de Shanghai a dévissé de près de 6% mercredi en clôture, dans un climat de panique générale en dépit de nouvelles mesures d'urgence des autorités et de la suspension des échanges sur quelque 1.300 titres des marchés chinois.
L'indice composite shanghaïen a terminé sur un plongeon de 5,90%, soit 219,93 points, à 3.507,19 points, après avoir lâché plus de 8% en cours de séance. La Bourse de Shenzhen, elle, a chuté de 2,50%, à 1.884,45 points.
Barclays : +2,70% dans les premiers échanges,après les départs d'Antony Jenkins
Goldman Sachs relève sa recommandation sur Publicis de "neutre" à "achat".
"L'économie grecque est au bord de la catastrophe, il faut absolument un accord dimanche prochain, c'est le dernier délai, après il sera trop tard et les conséquences seront graves. Il peut y avoir des émeutes (...), un chaos dans le pays."
Deutsche bank releve a recommandation sur LVMH de "conserver" à "achat", avec un objectif de cours qui passe de 165 à 175 euros.
Barclays a annoncé mercredi la démission surprise de son directeur général, Antony Jenkins, exigée par le conseil d'administration de la banque britannique qui a expliqué avoir besoin d'un "nouvel éventail de compétences".
Le président de la banque, John McFarlane, a été nommé président exécutif et assurera l'intérim de la direction exécutive en attendant la nomination d'un nouveau directeur général. M. Jenkins était arrivé à la direction de la banque en 2012, au moment où le scandale du Libor avait poussé vers la sortie son prédécesseur, Bob Diamond.
La Bourse de Tokyo a chuté de plus de 3% mercredi, gagnée par l'inquiétude face au plongeon des marchés chinois, tandis qu'en Europe plane le scénario noir du "Grexit" après l'utimatum fixé par les pays de la zone euro à Athènes.
A l'issue des échanges, l'indice Nikkei des 225 valeurs vedettes a perdu 3,14% à 19.737,64 points, tombant sous la barre des 20.000 points pour la première fois depuis le 18 juin.
Les principales Bourses européennes sont attendues en hausse mercredi à l'ouverture, rebondissant dans le sillage de Wall Street la veille. Athènes doit soumettre d'ici jeudi à ses partenaires de la zone euro des propositions de réformes et une demande officielle d'aide au Mécanisme européen de stabilité (MES) en vue d'un éventuel nouveau plan d'aide.
D'après les premières indications disponibles, le CAC 40 parisien pourrait gagner jusqu'à 1,5% à l'ouverture, le Dax devrait ouvrir en hausse de 1,3% à Francfort et le FTSE à Londres pourrait afficher un gain de 0,7% dans les premiers échanges à Londres.
Les dirigeants des pays membres de la zone euro, réunis mardi à Bruxelles, se sont donnés jusqu'à dimanche pour trouver un accord avec Athènes sur un plan d'aide susceptible de maintenir au sein de la monnaie unique une Grèce au bord
de l'effondrement économique, en contrepartie de réformes.
Les cours du brut baissent mercredi en Asie, pénalisés par la crise de la dette grecque, la dégringolade des marchés chinois et un renchérissement du dollar.
Le cours du baril de référence (WTI) pour livraison en août cède 14 cents à 52,19 dollars et le Brent de la mer du Nord pour livraison à même échéance abandonne 13 cents, à 56,72 dollars.
"Les cours du pétrole prennent des coups de toute part, il y a peu de motifs d'être optimiste pour le moment. Cette situation persistera au moins pendant les deux prochaines semaines jusqu'à ce qu'on perçoive un retour de la confiance sur les marchés financiers chinois."
Deuxième consommateur mondial de brut derrière les Etats-Unis, la Chine est en proie à une dégringolade des Bourses de Shanghaï et de Shenzen après un an d'investissements frénétiques déconnectés de l'économie réelle.
La Bourse de Shanghai s'est ffondrée de plus de 8% mercredi, avant de modérer à grand peine ses pertes dans un climat de panique, en dépit de nouvelles mesures d'urgence des autorités, dont la suspension des échanges sur quelque 1.300 titres.
A mi-séance, l'indice composite shanghaïen chute de 3,89%, ou 144,90 points, à 3.582,22 points, après avoir lâché plus de 8,20% en cours d'échanges, ayant enregistré une véritable chute libre à l'ouverture.
La Bourse de Shenzhen, quant à elle, s'affiche en repli de 3,04%, à 1.874,03 points.
Les Bourses chinoises ont abandonné plus de 30% en trois semaines, voyant s'envoler plus de 3.200 milliards de dollars en valeur --selon une estimation publiée par l'agence Bloomberg--, soit une douzaine de fois le PIB de la Grèce l'an dernier.
La débâcle se poursuit ce mercredi dans un climat d'affolement général, qu'aucune admonestation ou annonce du gouvernement ne parvenait à endiguer.
Si vous cherchiez le "market live" de L'Echo, ne bougez plus vous y êtes et, grâce à lui, vous ne manquerez rien des principaux développements de cette séance de Bourse du mercredi 8 juillet 2015.