Clôture des marchés européens
BEL 20 -1,54%
DAX -1,81%
STOXX Europe 600 -2,08%
AEX -2,10%
FTSE-100 (Londres) -2,44%
CAC 40 -2,47%
BEL 20 -1,54%
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STOXX Europe 600 -2,08%
AEX -2,10%
FTSE-100 (Londres) -2,44%
CAC 40 -2,47%
"En ce début du mois de février, les indices européens retrouvent les démons du mois précédent".
Dès les premiers échanges à Wall Street, la capitalisation boursière d'Alphabet atteignait ce mardi 543,2 milliards de dollars, contre 530,1 milliards pour Apple .
Lundi, la société-mère du moteur de recherche Google a annoncé à la fermeture des marchés US une hausse de 17,8% de son chiffre d'affaires trimestriel, grâce à de solides ventes publicitaires sur les matériels mobiles et sur YouTube. Le groupe est devenue dans la foulée la première capitalisation boursière américaine.
"C'est une source de risque". "Les déficits publics se creusent fortement. Et pour maintenir la paix sociale et les dépenses en armement, les pays producteurs ne sont pas en mesure de couper dans les dépenses publiques".
Mesures d'austérité, appels au secours aux institutions financières ou encore privatisations partielles: les pays pétroliers prennent des mesures d'urgence pour faire face à l'effondrement brutal de leurs revenus budgétaires.
"Il n'est plus possible d'attendre", a prévenu le ministre russe de l'Economie Alexeï Oulioukaïev, appelant à combler au plus vite le trou laissé dans les comptes de Moscou par la chute des cours des hydrocarbures qui représentent la moitié des rentrées budgétaires.
Face à une situation "critique", il a appelé à la mise en oeuvre urgente de privatisations discutées de longue date, son gouvernement cherchant à réduire sa participation dans certains groupes publics comme le géant pétrolier Rosneft.
La chute du prix du baril, qui se situe autour de 30 dollars le baril, contraint les pays producteurs à chercher d'autres revenus ou à réduire leurs dépenses.
La Bourse de New York fait preuve de prudence à l'approche de l'ouverture, rattrapée une nouvelle fois par la dégringolade des cours du pétrole, qui font trébucher les majors du secteur.
Les Bourses européennes ont aggravé leurs pertes mardi à mi-séance, sous le coup de la poursuite de la chute de pétrole et du très mauvais accueil réservé aux résultats des poids lourds de la cote que sont UBS et BP.
Wall Street, où la séance sera également marquée par une batterie de résultats d'entreprises, est attendue en repli de quelque 0,75% selon les premières indications disponibles.
Après leur chute de la veille, les cours du brut reculent encore de quelque 3%.
L'indice regroupant les valeurs pétrolières européennes perd 4%, accusant la plus forte baisse sectorielle, devant le compartiment des matières premières et celui des banques. Tous les indices sectoriels sont dans le rouge.
Degroof Petrercam entame le suivi d'Ageas. Le conseil est d'accumuler la valeur avec un objectif de cours de 41,90 euros.
Colruyt profite de son profil défensif pour tirer son épingle du jeu d'un marché déprimé. Le détaillant franchit par la même occasion la barre des 50 euros en séance. Depuis la publication de solides résultats semestriels mi-Décembre, l'action a grimpé de 11%.
La Belgique continue à emprunter à court terme à des taux négatifs même si ces derniers remontent légèrement.
Selon l'Agence de la Dette, la Belgique a ainsi emprunté 1,032 milliard d'euros via des certificats de trésorerie à trois mois, à un taux moyen pondéré de -0,379%. Début janvier, le taux pour ce type de certificats était de -0,449%. Le pays a également levé 1,300 milliard, par l'intermédiaire cette fois de certificats de trésorerie arrivant à échéance le 14 juillet 2016, au taux de -0,369%.
Au total, la Belgique a emprunté 2,332 milliards d'euros.
Les marchés actions européens ont creusé leurs pertes en cours de matinée, l'indice Cac 40 parisien perdant même brièvement plus de 2%. Le nouvel accès de faiblesse des cours du pétrole plombe la tendance.
"Aujourd'hui, nous pouvons supposer que le pétrole est devenu le principal moteur de la perception du risque sur les marchés financiers. Certes, les mouvements récents ne font pas forcément une tendance mais la balance penche sérieusement en faveur des baisses."
Le taux de chômage a de nouveau diminué en décembre dans la zone euro, revenant à 10,4% contre 10,5% le mois précédent et 11,4% en décembre 2014, selon les données publiées mardi par Eurostat.
Ce troisième mois consécutif de baisse ramène le taux de chômage à son plus bas niveau depuis septembre 2011, souligne l'office statistique de l'Union européenne.
Dans l'ensemble de l'UE, le taux de chômage s'est établi à 9,0%, sans changement par rapport à novembre et contre 9,9% en décembre 2014. Il s'agit du niveau le plus bas dans l'UE à 28 depuis juin 2009, selon Eurostat.
Le chômage a reculé à un rythme plus soutenu que prévu en Allemagne en janvier, selon les données publiées mardi par l'Office fédéral du Travail qui soulignent la vigueur du marché de l'emploi dans la première économie européenne.
Le nombre total de personnes sans emploi, corrigé des variations saisonnières, a diminué de 20.000 le mois dernier pour s'établir à 2,732 millions. Les économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne une baisse de 7.000.
Le taux de chômage est ainsi revenu à 6,2%, contre 6,3 en décembre, soit un nouveau plus bas record depuis la réunification en 1990.
Les principales Bourses européennes perdent autour de 1% une heure après les premiers échanges.
Les investisseurs sont sous le coup à la fois de la nouvelle glissade des cours du pétrole et du mauvais accueil réservé aux résultats trimestriels annoncés par trois grands noms de la cote, UBS, BP et Infineon.
L'indice regroupant les valeurs pétrolières européennes perd 3%, accusant de loin la plus forte baisse sectorielle, devant celui regroupant les banques (-2%) et celui des valeurs liées aux matières premières.
Dans le compartiment pétrolier, le titre BP plonge de plus de 6%, subissant le deuxième recul le plus marqué de l'indice Stoxx 50. La "major" britannique a annoncé son plus mauvais résultat depuis au moins 20 ans.
Juste devant BP, l'action UBS (-7,5%) est la plus forte baisse du Stoxx 50. La banque suisse a annoncé des résultats meilleurs que prévu mais caractérisés par une sortie inattendue d'argent frais de sa division gestion de fortune.
Enfin, le titre Infineon perd pour sa part plus de 5% malgré l'annonce de résultats trimestriels légèrement supérieurs aux attentes.
L'action d'Infineon tire la bourse de Francfort vers le bas. La confirmation par le fabricant de semi-conducteurs de ses prévisions de croissance annuelle et la progression de ses résultats au premier trimestre de son exercice décalé 2015/2016 ne suffisent visiblement pas à satisfaire les investisseurs.
Harald Schnitzer, analyste chez DZ Bank, estimait pourtant que ces résultats étaient "solides" et la confirmation des objectifs annuels "attendue".
"En un mois, la confiance sur les marchés financiers a été complètement érodée. Le mois de février commence sur la même note négative que le mois précédent. Les craintes de ralentissement économique et les risques de déraillement de plusieurs pays du fait de la baisse du prix du pétrole continuent de nourrir les inquiétudes à propos de la croissance. Il est improbable, dans ces circonstances, de voir le marché boursier renouer durablement avec une tendance favorable."
Les Bourses de Shanghai et Shenzhen ont bondi de respectivement 2,26% et 3,42%, soutenues par l'injection par la banque centrale chinoise de milliards de yuans dans le système financier pour répondre aux besoins accrus de liquidités avant le Nouvel an lunaire.
L'indice composite shanghaïen a gagné 60,72 points, à 2.749,57 points, tandis que celui de Shenzhen a pris 57,18 points à 1.729,09 points.
"Aujourd'hui, c'est le chômage en zone euro ainsi que les ventes de voitures aux États-Unis qui seront sous notre radar. Les indices européens devraient ouvrir en baisse ce matin, pas réellement rassurés par la poursuite de la baisse du prix du baril de pétrole ce matin qui vient de perdre, en l'espace de 3 séances près de 8%"
La banque suisse UBS a publié un bénéfice net en hausse de 79% pour l'exercice 2015, à 6,2 milliards de francs suisses (5,5 milliards d'euros), malgré un quatrième trimestre difficile en raison des turbulences sur les marchés financiers.
UBS va verser à ses actionnaires au titre de 2015 un dividende ordinaire de 0,60 franc suisse par titre auquel s'ajoutera un dividende spécial de 0,25 franc suisse.
Pour 2016, la banque a mis un évidence un certains nombre de défis, entre la forte volatilité des marchés, les taux d'intérêt faibles et la force du franc suisse, tout en précisant qu'elle continuera de mettre en oeuvre les mesures nécessaires pour en atténuer les effets.
BP a annoncé ne perte de 6,5 milliards de dollars (5,8 milliards d'euros) au titre de 2015, son plus mauvais résultat depuis au moins 20 ans, en conséquence de la chute des cours du pétrole.
Le bénéfice net du quatrième trimestre est ressorti à 196 millions de dollars, bien en-deçà des estimations des analystes qui l'attendaient en moyenne à 730 millions.
Le résultat intègre une dépréciation de 2,6 milliards de dollars pour refléter la baisse des cours du brut.
Le dividende trimestriel est maintenu à 10 cents par action ordinaire.
"Nous continuons d'évoluer rapidement pour adapter et rééquilibrer BP dans cet environnement en mouvement."
Les principales Bourses européennes sont attendues en baisse à l'ouverture, sous le coup, comme la veille, d'inquiétudes concernant l'état de la conjoncture mondiale sur fond de poursuite du repli des cours du pétrole.
D'après les premières indications disponibles, le CAC 40 parisien pourrait perdre jusqu'à 0,6% à l'ouverture, le Dax à Francfort 0,7% et le FTSE à Londres 0,6%. Lundi, ces trois indices avaient cédé entre 0,4% et 0,8%.
Après avoir perdu jusqu'à près de 7% la veille, les cours du brut reculent encore de plus de 1,5% en raison de craintes concernant la demande chinoise, de l'annonce d'une météo clémente aux Etats-Unis et d'un scepticisme quant aux chances de voir les principaux producteurs s'entendre sur les moyens de résorber l'écart entre l'offre et la demande.
La journée devrait être animée par plusieurs résultats de sociétés, en Europe comme aux Etats-Unis.
La Bourse de Tokyo clôture en baisse, rattrapée par les angoisses des marchés mondiaux sur le pétrole et la Chine après un répit de deux jours suscité par une annonce surprise de la Banque du Japon (BoJ) pour soutenir l'économie.
A l'issue des échanges, le Nikkei des 225 valeurs vedettes a cédé 0,64% (-114,55 points) à 17.750,68 points. Il avait bondi de 2,80% vendredi et de près de 2% lundi, dopé par la décision de la BoJ d'adopter des taux négatifs.
L'indice élargi Topix de tous les titres du premier tableau a pour sa part reculé de 0,73% (-10,63 points) à 1.452,04 points.
La séance a une nouvelle fois été très active avec 2,77 milliards de titres échangés sur le premier marché.
Alphabet, société-mère du moteur de recherche Google, est devenue la première capitalisation boursière des Etats-Unis lundi dans les transactions d'après-Bourse, détrônant ainsi Apple, qui avait pratiquement monopolisé la première place durant quatre ans.
Apple avait lui-même supplanté Microsoft, en termes de capitalisation, en 2010, tandis que Microsoft avait évincé de la première place International Business Machines voici une vingtaine d'années.
Bonjour à toutes et tous et bienvenue sur le "market live" de L'Echo qui vous permet de suivre minute par minute les grands moments de cette séance de Bourse.