C'est ici que se termine ce live, merci à tous de nous avoir suivis. Un agenda allégé pour démarrer la semaine. Miko cote ex-dividende. Assemblée générale chez Cumulex.
La Bourse de New York a terminé en hausse, concluant une semaine positive marquée par le franchissement d'un seuil technique important, avant un indicateur d'inflation et une réunion de la banque centrale américaine (Fed) très attendus. Le Dow Jones s'est octroyé 0,13%, l'indice Nasdaq a pris 0,16% et l'indice S&P 500 a gagné 0,12%.
Sur la semaine, le Dow a gagné 0,34%, le S&P 0,39% et le Nasdaq 0,14%. Il s'agit de la quatrième semaine consécutive de hausse pour le S&P, ce qui ne lui était plus arrivé depuis juillet-août derniers, et de la septième pour le Nasdaq, série inédite depuis octobre-novembre 2019. Wall Street est portée depuis plusieurs semaines par un retour des investisseurs vers les grandes capitalisations du secteur technologique, une saison de résultats trimestriels meilleure que prévu et la perspective d'une pause de la Fed dans son resserrement monétaire, malgré des indicateurs macroéconomiques mitigés faisant planer la menace d'une récession aux États-Unis.
Les intervenants de marché prédisent à 72% un statu quo de la Fed sur les taux à l'issue de sa prochaine réunion de mardi et mercredi prochains.
Aux valeurs individuelles, Tesla a gagné 4,06% après l'annonce d'un accord avec General Motors (+1,06%), qui va à son tour adopter le système de recharge pour véhicules électriques du constructeur dirigé par Elon Musk, dont le réseau pourrait ainsi devenir la norme aux États-Unis. Netflix a pris 2,6% à la suite d'informations du Wall Street Journal selon lesquelles le spécialiste de la vidéo en ligne a vu ses abonnements grimper après ses restrictions sur le partage des mots de passe.
Dow Jones: +0,13%
S&P 500: +0,12%
Nasdaq: +0,16%
La Bourse de New York progresse, toujours soutenue par les valeurs technologiques, alors que les marchés européens ont reculé, sans élan avant les réunions des banques centrales la semaine prochaine.
Vers 20h40, l’indice Dow Jones gagnait 0,16%. Le S&P 500, plus large, progressait de 0,22%, tandis que le Nasdaq, à forte coloration technologique, bondissait de 0,5%.
Des statistiques inquiétantes et les spéculations autour des taux d’intérêt de la Réserve Fédérale américaine ont poussé les investisseurs sur la défensive cette semaine.
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L'indice phare de la Bourse de Bruxelles a terminé en baisse de 0,05% à 3.639 points. Aedifica , Galapagos et Cofinimmo ont enregistré les plus fortes progressions. Melexis , Aperam et Solvay ont perdu du terrain
Hors Bel 20, Atenor a grimpé de près de 6%, tandis qu’Azelis a chuté de 4,4%.
Bel 20: -0,11%
AEX: -0,27%
CAC 40: -0,17%
La Commission européenne a autorisé le rachat de Lagardère par Vivendi après les concessions acceptées par ce dernier pour répondre aux craintes de l'exécutif européen en matière de concurrence, dans le secteur du livre en particulier. La décision était attendue, Vivendi s'étant notamment engagé à céder la maison d'édition Editis et le magazine Gala, concurrents respectifs de Hachette et de Paris Match, deux filiales de Lagardère.
Vivendi a annoncé le 24 avril avoir conclu une promesse d'achat avec International Media Invest (IMI), société de l'homme d'affaires tchèque Daniel Kretinsky, pour la vente d'Editis. Le rachat de Lagardère doit permettre à Vivendi, contrôlé par Vincent Bolloré, de mettre notamment la main sur le Journal du Dimanche et Paris Match.
Les bourses européennes se repliaient légèrement tandis que Wall Street faisait le chemin inverse, une habitude sur la semaine où les investisseurs ont surtout fait preuve de patience avant les réunions de nombreuses banques centrales la semaine prochaine.
En Europe, Paris reculait de 0,01%, Francfort de 0,14%, Londres de 0,36% et Milan de 0,20% vers 16h55, seul Milan étant dans le vert sur la semaine. À Bruxelles, le Bel 20 cédait 0,05%.
À New York, le Dow Jones gagnait 0,33%, le S&P 500 0,47% et le Nasdaq 0,54%, tous trois évoluant en hausse sur la semaine.
Jeudi, l'indice élargi S&P 500 est repassé en "bull market" (marché haussier), c'est-à-dire de 20% au-dessus de ses récents plus bas niveaux, notamment grâce aux performances des entreprises technologiques.
Quand une décision de la Banque du Canada de remonter les taux trouble les marchés financiers mondiaux.
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Les cours du pétrole évoluaient en légère baisse vendredi après leur chute de la veille, les inquiétudes économiques persistantes prenant le pas sur les perspectives de réduction de la production de la part de l'Opep.
Le prix du baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en août cédait 0,79% à 76,12 dollars vers 16h25 et son équivalent américain, le West Texas Intermediate (WTI) à échéance en juillet, grappillait 0,01% à 71,30 dollars.
Le dollar reprenait des couleurs après des pertes marquées la veille, notamment face au yuan, l'inflation quasi nulle en Chine laissant présager d'une politique monétaire souple. Vers 16h25, il reprenait 0,10% face à l'euro, la monnaie européenne valant 1,0774 dollar.
Voici les valeurs à suivre à la Bourse de New York vers 16h10:
La Bourse de New York a ouvert en ordre dispersé, tentant de maintenir l'élan de la veille qui a vu le marché franchir un seuil important à la hausse, avant une semaine riche en événements et indicateurs. Dans les premiers échanges, le Dow Jones cédait 0,07%, l'indice Nasdaq gagnait 0,56% et l'indice élargi S&P 500 prenait 0,23%.
Le S&P-500 est entré jeudi dans un marché haussier ("bull market"), défini par une hausse de 20% par rapport à un plus bas récent. L'indice de référence des investisseurs et le Nasdaq ont atteint au cours des dernières séances leur plus haut niveau depuis le début de l'année, portés par la progression des valeurs tournées vers l'intelligence artificielle, par des résultats d'entreprises supérieurs aux attentes et par la perspective d'une pause de la Fed dans la remontée de ses taux d'intérêt.
Selon le baromètre Fedwatch de CME Group, la probabilité que la Fed maintienne mercredi prochain l'objectif de taux des fonds fédéraux à 5%-5,25% est de 72%. Mais les traders estiment qu'il y a une chance sur deux pour qu'elle relève ses taux d'un quart de point en juillet.
"Nous nous attendons à une dernière hausse dans ce cycle en juillet. Nous pensons que l'affaiblissement des données sur l'activité et l'emploi conduira à une pause plus durable en septembre, avant une première baisse en mars 2024", estiment les économistes de BNP Paribas.
Après Ford, General Motors va à son tour adopter le système de charge des véhicules électriques de Tesla , donnant accès à ses clients au réseau Supercharger du groupe d'Elon Musk.
Dans les premiers échanges à Wall Street, GM gagnait 4,1% et Tesla 5,4%. Dans leur sillage, Chargepoint et Evgo, qui gèrent des bornes de recharge pour voitures électriques, perdaient 8,8% et 7,9% respectivement.
"C'est un énorme coup de pouce pour l'activité de recharge de Tesla", souligne Chris Harto, analyste politique senior chez Consumer Reports. "Il s'agit pour eux de s'affirmer comme le premier réseau de recharge du pays. Cela pourrait certainement devenir un centre de profit important pour eux à l'avenir".
Dow Jones: -0,06%
S&P 500: +0,23%
Nasdaq: +0,45%
* Après Ford, GENERAL MOTORS va à son tour adopter le système de charge des véhicules électriques de TESLA, donnant accès à ses clients au réseau Supercharger du groupe d'Elon Musk. Dans les échanges avant l'ouverture de Wall Street, GM gagne 4,3% et Tesla 6,6%. Dans leur sillage, CHARGEPOINT et EVGO qui gèrent des bornes de recharge pour voitures électriques, perdaient 5,2% et 7% respectivement.
* COINBASE reculait de 0,5% en avant-Bourse, l'agence de notation Moody's ayant revu sa perspective crédit de "stable" à "négative" à la suite des poursuites engagées par la SEC.
* DOCUSIGN grimpe de 7,7% en avant-bourse après avoir relevé son objectif annuel de chiffre d'affaires au-dessus des attentes du marché.
* LORDSTOWN MOTORS (+2,2%) a annoncé son intention d'intenter une action en justice contre Foxconn pour s'assurer que le sous-traitant taïwanais honore un achat prévu de près de 10% du capital.
Wall Street devrait ouvrir sans tendance bien affirmée et les bourses européennes cèdent du terrain pour la dernière séance d'une semaine marquée par l'attentisme des investisseurs avant les réunions de la Réserve fédérale et la Banque centrale européenne dans quelques jours.
Les "futures" sur indices new-yorkais signalent une ouverture en repli de 0,20% pour le Dow Jones, de 0,05% pour le Standard & Poor's-500 et une progression de seulement 0,09% pour le Nasdaq.
En Europe, l'Euro Stoxx 50 perd 0,21% et le Stoxx 600 cède 0,27%. Amsterdam lâche 0,44%, Francfort 0,25%, Paris recule de 0,21% et Bruxelles abandonne 0,18%
Les séances se suivent et se ressemblent depuis plusieurs jours, les investisseurs faisant preuve de prudence en attendant les annonces de politique monétaire de la Fed surtout (mercredi) et de la BCE (jeudi).
Citigroup voit le Stoxx 600 gagner 9% à 500 points d'ici le milieu de l'année prochaine mais la banque américaine met en garde contre une baisse des bénéfices qui pourrait freiner l'indice paneuropéen à court terme alors que la croissance économique ralentit.
La prévision de Citi pour 2024 implique un 'rerating' en Europe avec un multiple P/E à 12 mois à 14x, ce qui le ramène à sa médiane à long terme.
Citi reste sur son scénario d'un Stoxx 600 à 445 points fin 2023, contre 458,93 points actuellement, ajoutant que les actions pourraient se négocier dans une fourchette étroite dans les mois à venir.
Pour Citi, les valeurs de croissance et défensives vont surperformer les actions cycliques à court terme, alors que l'inflation reste élevée et que l'activité économique s'essouffle, se disant particulièrement optimiste quant aux secteurs de la technologie et de la santé notamment.
La Banque centrale russe (BCR) annonce maintenir une nouvelle fois son taux directeur à 7,50%, comme depuis septembre dernier, conformément aux attentes des marchés et des analystes.
A la faveur d'indicateurs macro-économiques relativement stables, le taux directeur reste ainsi au niveau annoncé à l'automne dernier, loin du pic atteint juste après le lancement de l'intervention militaire en Ukraine.
Solvay chute de 2,6%, en tête des plus fortes baisses de l'indice Bel 20 (-0,16%). Le groupe chimique belge est emporté par un effet sectoriel lié à l'avertissement sur résultats du groupe de chimie britannique Croda International.
Croda prévoit désormais un bénéfice avant impôts pour 2023 compris entre 370 millions et 400 millions de livres (431 et 466 millions d’euros). Ces nouvelles prévisions sont inférieures de 13% aux attentes du consensus à 440 millions de livres (513 millions d’euros), notent les analystes de Jefferies.
L’action réagit négativement et s’effondre de 12%. Le recul plombe l'ensemble du secteur de la chimie européenne, le sous-indice Stoxx 600 chemicals perdant 1,9%, la pire performance sectorielle de l’indice Stoxx 600.
Au quatrième trimestre de 2022, le secteur belge des fonds (BEAMA) a noté une progression de 2,6 % et ce, sous l’impulsion des hausses de cours enregistrées sur les actifs sous-jacents.
Fin décembre 2022, l’actif net des fonds commercialisés publiquement en Belgique atteignait 241,9 milliards d'euros.
Sur l’ensemble de l’année 2022, 2,49 milliards d'euros de souscriptions nettes ont été enregistrées. "C’est donc en raison des baisses de cours des actifs sous-jacents que l’actif net des fonds distribués publiquement en Belgique a été inférieur fin décembre 2022 de 12,2%, soit 33,5 milliards d'euros, au niveau de fin 2021", souligne la BEAMA.
Une semaine après l'officialisation du rachat de VOO par Orange, le CEO Xavier Pichon a donné hier jeudi quelques éléments stratégiques.
Lire aussi | Xavier Pichon, CEO d'Orange Belgique: "Avec le rachat de VOO, Orange change de dimension"
Pour David Vagman, analyste chez ING, s'il manque encore quelques pièces du puzzle (capex, marques, prix), le marché a désormais une bonne idée de la stratégie industrielle et commerciale globale de l'ensemble Orange Belgium/VOO. "Nous pensons que c'est une stratégie bien pensée, sinon audacieuse, en particulier en matière de tarification", explique Vagman.
L'idée générale est
La marque "Hey!" devient également logiquement convergente, un peu un mélange de Vikings Mobile/Scarlet.
Orange Belgium devrait donc proposer une offre beaucoup plus large, mieux à même de ravir des clients premium de Proximus et Telenet.
La stratégie de l'ensemble Orange Belgium/Voo est considérée par l'analyste comme positive pour le nouveau groupe ainsi constitué, et négative pour Proximus et Telenet.
Vagman maintient sa recommandation d'achat sur Orange Belgium (objectif de cours de 30 euros), de vendre Proximus (7,342 euros) et de conserver Telenet (20,5 euros).
Les investisseurs ne prennent pas de risque à l'approche d'une semaine décisive pour les politiques monétaires de trois grandes banques centrales la semaine prochaine, malgré l'embellie à Wall Street qui a, notamment, bénéficié de l'élan des valeurs technologiques.
Francfort cède 0,15%, Amsterdam et Bruxelles perdent 0,10%, Paris est à l'équilibre, L'Euro Stoxx 50 et le Stoxx 600 sont proche de leur niveau de clôture de la veille.
Les contrats à terme sur indices aux Etats-Unis préfigurent une rechute à Wall Street au lendemain d'une séance marquée par le retour du S&P-500 en "bull market" (marché haussier), l'indice large de la Bourse de New York ayant gagné plus de 20% par rapport à ses récents plus bas. L'indice Dow Jones est donné en recul de 0,3%, le S&P 500 abandonnerait 0,16%. Le Nasdaq ouvrirait stable.
Les hausses de taux de cette semaine par la Reserve Bank of Australia (RBA) et par la Banque du Canada ont quelque peu compliqué la situation quant à ce que la Fed pourrait faire la semaine prochaine.
Le compartiment de la chimie accuse la plus forte baisse du Stoxx 600 avec le groupe britannique de produits chimiques Croda International qui plonge d'un peu plus de 14%, à la suite d'un avertissement sur sa prévision de bénéfice annuel.
Il entraîne dans sa chute BASF , Bayer et Givaudan.
Dassault Systèmes perd 2,2% après l'annonce de sa prévision de bénéfice à moyen terme jugée "un peu timide" par Jefferies. Le groupe a également indiqué que Pascal Daloz deviendrait son directeur général à compter du 1er janvier 2024.
Le délai pour faire offre pour la concession 2024-2028 a expiré ce jeudi. Bpost et PPP sont candidats. Proximy est l'invité surprise de cet appel d'offres. Si ce dernier réussit, il est prêt, si nécessaire, à reprendre 3.300 salariés de bpost.
Bpost perd 0,39% à 4,12 euros dans un marché en recul de 0,11%.
Les pertes varient entre 0,25% à Francfort et 0,2% à Bruxelles. L'indice Stoxx 600 lâche 0,12% et l'Euro Stoxx 50 abandonne 0,14%.
Oxurion a obtenu 150.000 euros supplémentaires du fonds vautour Atlas Special Opportunities. A cet effet, 6 obligations convertibles ont été converties en actions. Oxurion a émis 53.166.351 nouvelles actions, ce qui s'accompagne bien sûr d'une autre dilution. Le nombre d'actions Oxurion en circulation est désormais de 1,14 milliard.
Vivendi perd 2,2% après l'annonce de son éviction du Cac 40.
Amsterdam: +0,21%
Bruxelles: +0,15%
Paris: +0,20%
Francfort: n.c.
Euro Stoxx 50: +0,17%
DJ Stoxx 600: +0,22%
Les marchés européens sont attendus en hausse, optimistes quant à une possible pause dans la hausse des taux directeurs de la Réserve fédérale américaine à l'issue de sa prochaine réunion la semaine prochaine.
L'attention des investisseurs se porte sur les prochaines réunions de la Réserve fédérale américaine (Fed) les 13 et 14 juin, de la Banque centrale européenne (BCE) et de la Banque du Japon.
De nombreux analystes s'attendent à ce que la Fed marque une pause dans la hausse de ses taux après des signes de ralentissement du marché du travail américain.
La veille, les inscriptions hebdomadaires au chômage aux États-Unis ont grimpé début juin et sont au plus haut depuis octobre 2021, signe que les licenciements se sont multipliés.
Les entreprises américaines ont davantage licencié au cours des cinq premiers mois de cette année que pendant toute l'année dernière.
La Bourse de Tokyo a fini en hausse vendredi à un pic de 33 ans, après deux séances de baisse, les investisseurs ayant été soulagés par la fixation du prix de cotation spécial.
L'indice Nikkei gagné 1,97% à 32.265,17 points et le Topix, plus large, a pris 1,50% à 2.224,28 points.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a nommé par décret vendredi une nouvelle gouverneure à la tête de la Banque centrale turque. Elle aura pour mission d'endiguer l'inflation et la dévaluation de la livre turque.
Hafize Gaye Erkan, passée par First Republic Bank et Goldman Sachs, est partisane d'un retour à l'orthodoxie financière.
Elle devient la première femme à diriger la Banque centrale turque.
Mercredi, la monnaie turque, soutenue massivement par la Banque centrale turque avant les élections présidentielle et législatives de mai, a chuté de plus de 7% face au dollar et à l'euro.
La livre turque continue de reculer de 1,5% à 23,49 livres par dollar.
La Banque centrale turque annoncera son nouveau taux directeur le 22 juin.
Les bourses européennes sont attendues dans le vert dans le sillage de la progression de Wall Street la veille, mais les gains devraient être limités par la prudence typique des investisseurs à moins d'une semaine des réunions de trois grandes banques centrales.
Les contrats à terme sur indices suggèrent une ouverture en hausse de 0,14% de l'Euro Stoxx 50 et de 0,18% à Londres. Francfort débuterait sur une progression de 0,09%, tout comme Paris.
La Réserve fédérale américaine (Fed), la Banque centrale européenne (BCE) et la Banque du Japon (BoJ) rendront leur décision de politique monétaire la semaine prochaine et les marchés tablent de plus en plus sur une pause sur les taux de la Fed malgré les relèvements inattendus sur le coût du crédit opérés cette semaine par la banque centrale d'Australie (RBA) et la Banque du Canada (BoC).
Cela a permis à l'indice S&P 500 de la Bourse de New York de passer en "bull market" (marché haussier) après avoir gagné plus de 20% depuis ses plus bas d'octobre. Parallèlement, l'indice Vix de la volatilité, baromètre de la peur, a reflué sous les 15 points, touchant un plus bas de l'année à 13,53 points.
Binance.US est sur le point d'être coupé de ses partenaires bancaires à la suite d'un procès de la Securities and Exchange Commission contre l'échange de crypto-monnaie.
Dans un e-mail aux clients, la plateforme Binance déclare que ses partenaires de paiement et bancaires ont signalé leur intention de suspendre temporairement les canaux de retraits en monnaie "fiat" (une cryptomonnaie stable) dès le 13 juin. Cela signifie que "notre capacité à accepter les dépôts fiduciaires en USD et à traiter les retraits fiduciaires en USD sera affectée", déclare la société.
Binance.US, qui a tweeté l'e-mail, a déclaré aussi qu'il "suspendait les dépôts en USD et les ordres d'achat récurrents aujourd'hui" et passait à un "échange crypto uniquement".
Cette décision intervient alors que l'autorité des marchés financiers américains a assigné en justice la plateforme d'échange de cryptoactifs.
L'avis de la Securities and Exchange Commission (SEC) sur les cryptomonnaies est "extrêmement agressive et intimidante", a déclaré Binance US sur Twitter.
Trois valeurs belges à suivre puisqu'elles ont publié des communiqués depuis la clôture jeudi.
> Le producteur de profilés en PVC Deceuninck a finalisé le programme de rachat d'actions annoncé le 24 mai, selon un communiqué de presse. La société a acquis un total de 100.000 actions propres pour un montant de 247.759,01 euros. Le programme de rachat était destiné à réaliser les plans d'achat d'actions et de warrants en faveur du management et des salariés. Le communiqué
> Hyloris - La société biopharmaceutique a obtenu de la Région wallonne 1 million d'euros de financements non dilutifs pour la première partie de développement du HY-083. La recherche sur le HY-083 vise à offrir une alternative de traitement de la rhinite idiopathique, une indication pour laquelle il n'existe aujourd'hui aucun traitement fiable. On estime que 7% de la population adulte présente des symptômes tels que l'écoulement nasal, la congestion nasale ou des crises d'éternuement. Le communiqué
> Montea - Dans le cadre du dividende optionnel, un total de 51% des actionnaires ont échangé leurs coupons contre de nouvelles actions, a fait savoir la SIR. En conséquence, les fonds propres de Montea augmentent d’environ 30 millions d'euros. Les fonds serviront en grande partie à poursuivre la croissance du portefeuille immobilier. Le communiqué
Le géant français des médias Vivendi va quitter l'indice phare de la Bourse de Paris, le CAC 40, et sera remplacé par le spécialiste des services de paiements prépayés Edenred , selon un communiqué de l'opérateur boursier Euronext jeudi soir.
Cette décision, prise par un conseil scientifique indépendant qui se réunit tous les trimestres pour réévaluer la liste des entreprises du CAC 40, prendra effet le 16 juin après la clôture des marchés. C'est le premier changement sur l'indice depuis septembre 2021 et l'entrée d'Eurofins à la place d'Atos .
Les marchés asiatiques progressent dans l'ensemble, portés par les gains de Wall Street la veille dans l'attente de réunions des principales banques où les investisseurs espèrent une pause des taux.
Par contre, l'indice CSI 300 des grandes capitalisations boursières chinoises est à l'équilibre, freiné pour sa part par la faiblesse des données de l'inflation en Chine (voir post de 6h57) tandis que l'indice des prix à la production en Chine a baissé plus rapidement que prévu en mai. L'indice PPI ressort en repli de 4,6%, en raison de la faiblesse de la demande mondiale.
Le Brief, le podcast matinal quotidien, 7 infos, dès 7h.
Signes d'une demande atone et d'un environnement compliqué pour les entreprises, l'inflation en Chine était quasi nulle en mai, les prix départ usine poursuivant de leur côté leur plongeon, selon des chiffres officiels publiés un peu plus tôt ce matin.
L'indice des prix à la consommation (CPI), principale jauge de l'inflation, s'est inscrit en mai en hausse de 0,2% sur un an, contre 0,1% un mois plus tôt, selon le Bureau national des statistiques (BNS).
C'est exactement ce à quoi s'attendaient des analystes interrogés par l'agence Bloomberg.
Bonjour! Bienvenue sur notre "Market live" du vendredi 9 juin. Wall Street a clôturé en hausse jeudi, avec un indice S&P 500 désormais en "bull market" ou "marché haussier". C'est-à-dire que l'indice vient de passer le cap de 20% de hausse depuis son dernier plus bas au mois d'octobre.
