Le tribunal de police de Charleroi a acquitté un automobiliste en excès de vitesse dont la plaque du véhicule avait été flashée de face, explique la Dernière Heure.
L'arrêté-royal de 2010 sur les radars ne mentionne plus que seule la plaque arrière officielle peut être flashée. Les services de police estimaient donc qu'ils pouvaient flasher de face ou à l'arrière.
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L'homme qui a comparu devant le tribunal avait été flashé en ville à 92 km/h. Sa plaque avant avait été photographiée. Mais le juge de Charleroi a estimé que n'importe quelle plaque avant peut se trouver sur un véhicule et qu'il n'y a pas de certitude que la reproduction soit identique à la plaque officielle. L'automobiliste a donc été acquitté au bénéfice du doute.
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