Plus le cours des actions diminue, moins le coût de la donation d'un portefeuille-titres est élevé. C'est donc le moment. Voici pourquoi, et comment faire.
Les cohabitants légaux n’héritent pas grand-chose l’un de l’autre. Et le conjoint survivant n’est pas du tout protégé. Quelles possibilités s’offrent à vous pour avoir l’esprit tranquille?
Les cohabitants de fait n’héritent pas l’un de l’autre. Un testament est donc nécessaire pour éviter que le conjoint survivant ne se retrouve sans rien. Le mieux est encore de recourir à une clause d’accroissement, parce qu’elle offre plus de sécurité qu’un testament. Mais gare au piège fiscal.
Vous êtes engagé dans une relation, mais ne vivez pas avec votre partenaire? Si vous souhaitez lui laisser quelque chose à votre décès, vous devrez agir. Et avoir en tête que comme vous ne vivez pas ensemble, vous êtes considérés comme des "étrangers " en matière fiscale: ce que vous vous léguerez mutuellement sera donc taxé au taux le plus élevé.
Pour de nombreux couples mariés avec enfants, la planification de la succession ne s’impose qu’au moment où les parents approchent d’un certain âge. Mais y penser dès le début peut éviter bien des problèmes.
Vous avez retrouvé l’amour? La façon dont vous organisez cette relation déterminera si votre nouveau partenaire hérite de vous et ce dont il hérite. Cela aura également des conséquences sur la part successorale de vos enfants issus d’une relation antérieure.
Le droit successoral peut parfois sembler très simple. Si vous êtes célibataire et que vous n’avez rien réglé pour votre succession, la loi attribue tout votre héritage à vos enfants.
Vous êtes isolé, sans enfant ni partenaire. Vous avez un bel appartement, une voiture, un patrimoine et une propriété. Vous êtes heureux et ne manquez de rien, mais une question vous taraude: qu’adviendrait-il de tout cela si je venais à décéder?