En investissant dans des sociétés non cotées, les investisseurs ont accès à des pans de l’économie qui leur sont inaccessibles par le biais des actions cotées. Dans ce domaine, les co-investissements constituent une stratégie puissante. “En période de crise, ils offrent la possibilité d’entrer au capital d’entreprises à des valorisations très basses et à des conditions très intéressantes”, souligne Richard Damming chez Schroders Capital.
Le private equity devient de plus en plus intéressant pour les investisseurs qui souhaitent diversifier leur portefeuille. Alors que ces actifs sont bien connus des investisseurs institutionnels, c’est moins le cas des particuliers. Et c’est somme toute logique: investir dans le private equity exige que l’on comprenne bien certains risques, comme l’absence de liquidité, et demande une connaissance pointue des chemins qui mènent à ce marché.
La plupart du temps, les programmes de private equity consistent à investir dans un fonds. Ceux-ci peuvent se concentrer sur certains segments ou secteurs du marché, ce qui peut limiter les opportunités de rendement. Mais on peut également investir dans des actifs privés via les co-investissements. Cette stratégie ouvre des possibilités supplémentaires, à un prix inférieur à celui des fonds d’investissement classiques.
Plus de 20 ans d’expérience
“Nous réalisons tous nos co-investissements avec des General Partners (GP) de confiance”, avance Richard Damming. “Il s’agit de professionnels de l’investissement, comme des sociétés à portefeuille, qui souhaitent racheter ou intégrer une entreprise. Lors de transactions importantes, ils ont parfois besoin de capitaux supplémentaires, ce qui permet d’investir directement avec eux dans les entreprises. Ces co-investissements se font avec un nombre limité d’investisseurs externes, que l’on appelle Limited Partners (LP). Il peut s’agir de fonds de pension ou de gestionnaires patrimoniaux comme Schroders, entre autres.’
Les co-investissements ouvrent aux investisseurs l’accès à des transactions très spécialisées à un coût intéressant.
Grâce à ses relations avec ses partenaires, Schroders a la possibilité de proposer ces co-investissements sans frais de gestion ni performance fees. “Les co-investissements ouvrent aux investisseurs l’accès à des transactions très spécialisées à un coût intéressant.” Ils apportent aussi plus de diversification aux portefeuilles en termes de secteurs, de stratégies et de régions. Et la qualité des entreprises est souvent meilleure qu’avec d’autres approches, grâce au processus de sélection rigoureux. “Par ailleurs, les co-investissements offrent la possibilité de collaborer plus étroitement avec les entreprises”, poursuit Richard Damming. “Nous pouvons par exemple les encourager à rendre leurs processus plus durables.”
Arme supplémentaire en période de crise
Autre avantage: en période de crise, les co-investissements permettent d’entrer au capital des entreprises à des valorisations très basses et à des conditions des plus séduisantes. “Généralement, les investisseurs hésitent à vendre immédiatement après une crise pour éviter l’impact de la correction subie par le marché. Et lorsque les liquidités sont rares et que les activités de fusion-acquisition ralentissent, ils peuvent, grâce à une bonne relation avec un partenaire professionnel, conclure de meilleures transactions avec moins de concurrence.”
Sur ce plan, Schroders Capital applique des critères stricts aux co-investissements. “D’abord et avant tout, nous sélectionnons les entreprises qui sont bien armées contre les crises. Je pense notamment aux entreprises incontournables, c’est-à-dire dont les produits ou services restent indispensables, y compris en période de crise. Il s’agit d’entreprises affichant de belles perspectives de croissance à long terme, soutenues par des tendances de fond comme le vieillissement de la population, la transition énergétique et la guerre des talents.”
Focus sur les PME européennes
Schroders Capital en est convaincu: les PME européennes familiales recèlent d’excellentes opportunités de croissance. “Ces PME renforcent l’économie et affichent fréquemment des valorisations plus attrayantes que les grandes entreprises”, note Richard Damming.
Dans les phases de buy-out, on constate que les PME sont généralement moins endettées que leurs “grandes sœurs”, ce qui favorise leur transformation, leur croissance et leurs bénéfices potentiels. Parallèlement, elles sont moins dépendantes des marchés des capitaux mondiaux, et donc moins corrélées aux rendements du marché.
Envie d’en savoir davantage sur la façon dont Schroders rend les actifs privés accessibles au grand public via une solution ELTIF?
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