L'invité de la semaine dans le podcast Tracker s'appelle Hamza. Il a mis sur pied un des sites les plus consultés pour informer les investisseurs en Belgique.
Hamza publie à fréquence régulière des articles sur la finance sur internet. Fondateur du site Parlons Finance, le 71e invité du podcast Tracker est passionné par les marchés.
"Ma logique, c'est 10 à 20% de mes revenus mensuels investis. Aussi clair que ça, sauf les périodes où il n’y a pas moyen."
Depuis novembre 2017, il compile des analyses et interviewe des experts sur son site et sur les réseaux sociaux pour permettre à ses suiveurs de parfaire leur éducation financière. Et cela fonctionne. Hamza et son équipe sont rapidement devenus, comme il aime à le dire, "un média financier alternatif de référence" suivi par plus de 100.000 personnes.
Au micro de Tracker, Hamza nous a expliqué comment il sélectionne les informations qu’il met en avant et ce qui l’intéresse dans son travail de vulgarisation des notions financières. Un journaliste de la rédaction intervient également pour nous aider à comprendre pourquoi les créateurs de contenus comme Hamza sont de plus en plus suivis par le public.
"Vulgarisateur sérieux"
Il faut dire qu'on a beaucoup entendu dans nos podcasts des investisseurs particuliers ou des professionnels de la finance déplorer le manque d’éducation financière du grand public, en particulier des jeunes. Dans le même temps, nous avons aussi reçu de nombreuses personnes proposant des cours, des livres, des vidéos initiatiques pour investir, comme nos tutos bourse d’ailleurs.
Hamza se qualifie de "précurseur dans la série de vulgarisateurs sérieux" apparus ces dernières années dans les radars des investisseurs belges.
"J’ai un profil très modéré en bourse et mon portefeuille est plus pondéré en ETF qu’en actions."
Au rayon des investissements, Hamza a un portefeuille très diversifié, le jeune trentenaire n’étant pas un adepte des prises de risques insensées. "J’ai un profil très modéré en bourse et mon portefeuille est plus pondéré en ETF qu’en actions", situe le fondateur de Parlons Finance. "Ma logique, c'est 10 à 20% de mes revenus mensuels investis. Aussi clair que ça, sauf les périodes où il n’y a pas moyen."
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