"Chez Moleskine, les gens n'achètent pas un carnet de notes mais une icône"

Dans une autre vie, il a travaillé chez Fiat, puis a fait de la consultance pour de grands groupes, notamment dans le luxe. Mais à la tête de Moleskine, Lorenzo Viglione semble être un CEO épanoui. Il est "en contact", comme il dit, avec la société depuis 2008 en tant que consultant avant d’en devenir le directeur opérationnel en 2013, puis le directeur tout court en septembre 2017. Son rôle au sein de la galaxie D’Ieteren, le nouveau propriétaire de la marque ? Amener de la création de valeur en faisant croître les affaires tout en respectant l’image de Moleskine. Une mission qui lui semble des plus réalisables.