La fin d’année est souvent l’occasion de se retrouver en famille. Et dans ce moment de partage le jeu vidéo à quelques cartes à jouer pour amuser ensemble.
Rarement un jeu de science-fiction n’aura tant appuyé sur son côté "science". Malheureusement, le jeu accumule les frustrations et peut vite se révéler pénible à parcourir.
L’escalade est un lieu commun dans le jeu vidéo depuis des années. Mais aucun jeu n’a su procurer autant de vertiges narratifs que le dernier-né du studio Don’t Nod.
Il aurait suffi d’un rien pour qu’"Alan Wake 2" soit un navet prétentieux. Et pourtant, il tient sa ligne d’équilibriste et s’impose comme un très grand jeu.
Avec une formule plus courte et plus centrée sur l’infiltration, "Assassin’s Creed Mirage", le dernier épisode d'Assassin's Creed, semblait trop beau pour être vrai. Et pourtant, c’est une réussite.
Le premier jeu de Round 8 Studio est une copie réussie et efficace des jeux FromSoftware. Mais comme toutes les copies, il n’arrive pas à la cheville de son modèle.
Manette en main, ce second jeu de la licence de The Game Kitchen est irréprochable. Mais il brille surtout par ses inspirations piochant allègrement dans la culture religieuse andalouse.
Lieu unique en Belgique francophone, le Quai 10 utilise le jeu vidéo à des fins de médiation et de découverte. Une occasion en or pour jouer en famille.
Sans le Tax Shelter, instauré en janvier, la Belgique montrait déjà tout son talent dans la conception de jeux vidéos. Cette aide devrait aider le secteur à briller davantage encore.