Publicité

La peur d'un krach s'intensifie

A Bruxelles, l’année boursière semble avoir plutôt bien débuté. Depuis l'entame du millésime, le Bel 20 –qui ne compte plus temporairement que 19 valeurs depuis le départ d’Omega Pharma- a progressé de 2,1%.

Mais si l’on en croit l’indice de confiance de l’Université de Yale, cette tendance pourrait s’inverser dans un proche avenir.

Le Crash Confidence Index est en effet en passe de toucher ses plus bas niveaux depuis 2009. Il mesure auprès des particuliers aisés et des investisseurs institutionnels leur degré de confiance dans le fait qu’il n’y aura PAS de krach boursier dans les six prochains mois.

Pour les investisseurs particuliers, on est passé sous les 20%. Les professionnels eux gardent davantage leur sang-froid avec un seuil de 25% environ.


(Source: Yale School of Management)

Comme l’explique l’école de management de Yale sur son site, le Crash Confidence Index a atteint son plus bas niveau (depuis sa création en 1989) au début 2009 soit quelques mois après la crise provoquée par la faillite de Lehman. Cela reflétait l’agitation sur le marché du crédit et les craintes d’une forte récession provoqués par cet événement.

Notez que la question posée pour calculer cet indicateur porte sur un krach aux Etats-Unis ou un krach apparu dans un autre pays mais qui affecterait également les USA.

Et selon vous, chers échonautes, quelle est la probabilité pour qu'il n'y ait PAS de krach boursier dans les six prochains mois? Donnez-nous un chiffre compris entre 0 et 100%. 100% signifie donc pas de krach du tout et 0% prédit un krach avec certitude.

Stéphane Wuille

Publicité

PS: Pour ceux qui désirent en savoir davantage sur la méthodologie mise en oeuvre pour la constitution de cet indice (échantillons, période d'enquête,...), cliquez ici.

PS2: Commentaires sur cet indice à lire sur le site de Bespoke Investment Group et dans la chronique de Morningbull

Publicité
Sans accord sur une taxe sur les plus-values, il n'y a d'accord sur rien, rappelle-t-on chez Vooruit.
La réforme du chômage reste conditionnée à la taxation des plus-values
Le gouvernement De Wever dispose d'un accord sur la limitation du chômage et la réforme des pensions, mais tout dépend encore d'un accord sur la taxe sur les plus-values.
Messages sponsorisés