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À huit jours des élections aux États-Unis, Julien Penders, entrepreneur belge installé à San Fransisco, commente l'actualité dans le Brief.

Aux États-Unis, le grand jour approche. Le 5 novembre prochain, Kamala Harris ou Donald Trump prendra la tête des États-Unis.

Pour en parler, nous donnons la parole à un entrepreneur belge installé aux États-Unis. Julien Penders est le cofondateur et directeur des opérations de Bloomlife, une start-up spécialisée dans la santé des femmes. Originaire de Liège, il traverse l'Atlantique en 2014 pour s'installer à San Francisco, terre de la Silicon Valley.

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Fort de son expérience dans le secteur, nous avons abordé la question des droits des femmes, centrale dans la campagne présidentielle américaine, à l'heure où le droit à l'avortement s'avère plus que jamais en danger aux États-Unis.

"Il faut encourager l'esprit d'entreprendre en Belgique, et déstigmatiser l'échec."

Julien Penders
Cofondateur et COO de Bloomlife

Bloomlife place la technologie au centre de son développement. Ainsi, Julien m'a aussi partagé son point de vue sur la régulation des technologies, un autre point sur lequel Kamala Harris et Donald Trump sont diamètralement opposés.

Si Julien a quitté la Belgique pour entreprendre aux États-Unis, c'est notamment parce que "le marché belge devient vite trop petit quand on a de grandes ambitions de croissance." Pour ce passionné de nouvelles expériences, "il faut encourager l'esprit d'entreprendre en Belgique, et déstigmatiser l'échec."

Julien Penders, cofondateur et COO de la start-up belgo-américaine Bloomlife.
Julien Penders, cofondateur et COO de la start-up belgo-américaine Bloomlife. ©Valentin Bianchi / Hans Lucas

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