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Les bourses en direct | Wall Street termine en ordre dispersé, Alibaba et Walmart reculent, Foot Locker bondit de 86%

La Bourse US a clôturé sans direction, alors que les bourses européennes avaient grappillé du terrain, dans une séance marquée par la baisse de l'inflation en avril du côté des producteurs aux Etats-Unis, ce qui nourrit l'espoir de baisses des taux de la Fed dans l'année.
  • À suivre ce vendredi

    C'est ici que se termine ce live, merci à tous de nous avoir suivis. Les investisseurs prendront connaissance des derniers chiffres du PIB japonais et de la confiance des consommateurs américains ce vendredi. Il y aura également assemblée générale chez Dassault Aviation, Michelin, Thalès et Volkswagen, tandis qu'EVS sera au rapport.

    Passez une bonne soirée et à demain !

  • Ce qu'il faut retenir de la séance à Wall Street

    • La Bourse de New York a terminé sans direction claire, après une ouverture en baisse, les investisseurs digérant une salve de données économiques américaines qui ont provoqué la détente des taux obligataires. Le Dow Jones a gagné 0,65% et le S&P 500 0,41%, tandis que le Nasdaq a perdu 0,18%.
    • Walmart a prévenu qu'il allait commencer à relever ses prix plus tard ce mois-ci à cause des droits de douane, reculant de 0,5% lors de la séance, même si ses ventes au premier trimestre ont battu les attentes. Le détaillant s'est abstenu de fournir une prévision pour le trimestre actuel, imitant un éventail d'entreprises à travers différents secteurs qui ont abaissé ou retiré leurs prévisions, ce qui a mis en exergue leur inquiétude à propos des potentielles répercussions des droits de douane.
    • Amazon, très affecté également par les droits de douane, a cédé 2,4%, pesant sur le Nasdaq. "Les gens pensent qu'il va y avoir des accords (commerciaux), donc ils anticipent, ils ne veulent pas être pris au dépourvu", a commenté Dennis Dick, trader chez Triple D Trading.
    • Huit des onze secteurs majeurs du S&P 500 ont fini la séance dans le vert. Cisco Systems a ainsi pris près de 5% après avoir relevé ses prévisions annuelles.
  • Meta retarde le lancement de son modèle d'IA "Behemoth"

    Meta Platforms

    retarde la sortie de son modèle phare d’intelligence artificielle baptisé "Behemoth", en raison de préoccupations liées à ses performances, rapporte le Wall Street Journal, citant des sources proches du dossier. Les ingénieurs de l’entreprise auraient du mal à améliorer de manière significative les capacités de ce grand modèle de langage, ce qui suscite des doutes en interne sur le fait que les progrès réalisés par rapport aux versions précédentes justifient un lancement public.

    Initialement prévu pour avril, à l’occasion de la première conférence dédiée à l’IA de Meta, le lancement avait ensuite été repoussé à juin. Il est désormais reporté à l’automne ou plus tard, selon le journal.

    En avril, Meta avait annoncé un aperçu de Llama 4 Behemoth, présenté comme "l’un des LLM les plus intelligents au monde" et destiné à jouer un rôle de modèle enseignant pour les futurs systèmes. À cette occasion, Meta avait lancé deux autres versions de son LLM: Llama 4 Scout et Llama 4 Maverick.

  • Wall Street mitigée après des indicateurs économiques US

    La Bourse de New York a fini en ordre dispersé, le S&P 500 s'inscrivant une nouvelle fois dans le vert et le Dow Jones ayant rebondi après son repli de la veille, grâce notamment aux gains de Cisco Systems qui a relevé ses prévisions annuelles en citant la demande pour l'intelligence artificielle. Le Dow Jones a gagné 0,65% à 42.322,75 points. Le S&P 500 a pris 0,41% à 5.916,93 points. Le Nasdaq a reculé de son côté de 0,18% à 19.112,32 points.

    Dans la foulée des discussions commerciales engagées par les Etats-Unis et la Chine au cours du week-end, qui ont abouti sur une trêve, le S&P 500 a poursuivi cette semaine sa remontée après une dégringolade début avril quand le président américain Donald Trump a annoncé de vastes taxes présentées comme réciproques, à l'origine d'une guerre commerciale mondiale. Il se trouve toutefois à environ 4% de son record de clôture du 19 février dernier.

    Les investisseurs misent sur le fait que Washington va conclure des accords avec ses partenaires commerciaux et revoir les droits de douane de 10% à 50% annoncés le mois dernier par la Maison blanche, des taxes que les économistes considèrent comme à même d'alimenter l'inflation.

    Des données publiées dans la journée montrent que la croissance des ventes au détail aux Etats-Unis a ralenti en avril, tandis qu'un rapport distinct indique que les prix américains à la production ont reculé le mois dernier de manière inattendue. "Nous guettons toujours un bond de l'inflation. Ce n'est pas encore le cas, mais nous attendons", a dit John Augustine, directeur des investissements de Huntington National Bank. 

  • Les marchés US terminent en ordre dispersé

    Le Dow Jones a gagné 0,65% à 42.323,80 points.

    Le Nasdaq a perdu 0,18% à 19.112,32 points.

    Le S&P 500 a pris 0,41% à 5.916,93 points.

  • Regards d'analystes sur Walmart

    Walmart

     voit son action reculer de 0,7% à 96,18 dollars après avoir omis d'inclure ses prévisions pour le deuxième trimestre dans son rapport trimestriel.

    Greg Melich, analyste chez Evercore, souligne que "le risque d'un ralentissement des dépenses des consommateurs américains persiste".

    De son côté, Morgan Stanley adopte une perspective plus optimiste. "Les investisseurs s'attendaient à des résultats négatifs, donc les chiffres publiés apportent un certain soulagement", explique Simeon Gutman, analyste chez Morgan Stanley. "La croissance des bénéfices, supérieure aux attentes, et le maintien des prévisions annuelles témoignent de la dynamique positive sous-jacente chez Walmart."

  • Le pétrole glisse face aux perspectives d'un accord entre les Etats-Unis et l'Iran

    Les cours de l'or noir ont reculé ce jeudi, alors que Donald Trump a assuré se "rapprocher" d'un accord sur le programme nucléaire iranien, susceptible de faciliter les exportations de pétrole de Téhéran. Le président américain a dit depuis Abou Dhabi penser "qu'on se rapproche de la conclusion d'un accord" sur le programme nucléaire iranien, exprimant son optimisme quant à la possibilité d'éviter des frappes militaires sur les sites iraniens.

    Ali Shamkhani, un conseiller du guide suprême iranien Ali Khamenei, avait dit hier à la chaîne américaine NBC que Téhéran était prêt à accepter un accord avec les Etats-Unis sur son programme nucléaire, en échange de la levée immédiate des sanctions, alors que les deux pays ont tenu quatre cycles de discussions ces dernières semaines. L'Iran, qui fait partie des dix plus grands producteurs de pétrole au monde, subit la politique de "pression maximale" de Donald Trump depuis son retour au pouvoir.

    Cette fois, "le ton plus modéré (du président américain, ndlr) a pesé sur les prix du pétrole, car un accord permettrait vraisemblablement d'accroître la production et les exportations iraniennes", écrivent les analystes de Brown Brothers Harriman (BBH).  

    Le prix du baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en juillet, a lâché 2,36% à 64,53 dollars. Son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate, pour livraison en juin, a perdu 2,42% à 61,62 dollars. 

  • "Les interruptions dans les chaînes d'approvisionnement peuvent stimuler l'inflation"

    Lors d'une intervention à la Réserve fédérale à New York, Michael Barr, membre influent du conseil, a mis en lumière un phénomène préoccupant: les droits de douane peuvent perturber les chaînes d'approvisionnement. "La pandémie nous a montré combien ces interruptions peuvent bouleverser durablement les prix et le PIB", a-t-il souligné avec gravité.

    Barr a poursuivi en expliquant que si de telles perturbations venaient à se produire, nous pourrions assister à une croissance économique freinée et à une inflation galopante. Il a également attiré l'attention sur la vulnérabilité des petites entreprises, souvent dépourvues d'un accès facile au crédit.

    Leur faillite pourrait, selon lui, aggraver encore davantage les problèmes d'approvisionnement, créant un cercle vicieux difficile à briser.

  • "Deere affiche une marge opérationnelle impressionnante"

    Deere

    bondit de près de 4%, atteignant 516,96 dollars, suite à un rapport trimestriel au-delà des attentes. "Les ventes et les marges ont surpassé les prévisions", souligne Jamie Cook, analyste chez Truist. "La marge opérationnelle dans le secteur 'Production et Agriculture de Précision' s'est révélée remarquable, malgré une baisse des ventes."

    Stephen Volkmann, analyste chez Jefferies, partage cet enthousiasme en évoquant des "résultats opérationnels supérieurs aux attentes". Selon lui, "rien n'indique que 2025 ne marquera pas le creux pour les activités agricoles. Les investisseurs vont désormais s'intéresser à la profondeur de ce creux. Le message de réduction des stocks et de stabilité des prix est par ailleurs encourageant."

    Christopher Ciolino, analyste chez Bloomberg Intelligence, ajoute que "les perspectives se sont avérées meilleures que redoutées". Cela renforce l'idée que cette année pourrait bien être le point bas en termes de rentabilité.

  • Le gouvernement reporte la nomination des régents à la Banque nationale

    Ce lundi, lors de l'assemblée générale de la Banque nationale, le ministre des Finances, Jan Jambon (N-VA), ne présentera pas de candidats pour les trois postes vacants de régent. C'est ce qu'a confirmé le cabinet Jambon à L'Echo. Les mandats de Christine Mahy, directrice du réseau wallon de lutte contre la pauvreté, de Louise Fromont, enseignante à l'ULB, et de Marc Bourgeois, professeur de droit fiscal à l'université de Liège, arrivent à leur terme.

    "Les nominations ont pris un peu de retard et nécessitent une réflexion approfondie avant d'être décidées", explique le cabinet Jambon. "Nous avons d'abord dû nous concentrer sur un agenda législatif particulièrement chargé. Cependant, le gouvernement s'engage à traiter cette question dans les plus brefs délais."

  • Deere dépasse les attentes et bondit

    Deere, le géant mondial des tracteurs et machines agricoles, a enregistré une baisse de 18% de son chiffre d'affaires au deuxième trimestre, atteignant ainsi 11,17 milliards de dollars.

    Malgré ce recul, les résultats ont surpassé les attentes du marché. En effet, l'action du célèbre tracteur Deere

     bondit de près de 4%, illustrant la confiance renouvelée des investisseurs.

  • CoreWeave peine à séduire avec sa première mise à jour financière

    Depuis son entrée en bourse en mars dernier, CoreWeave a dévoilé sa première mise à jour trimestrielle, mais les analystes restent sur leur faim. Le spécialiste de l'infrastructure pour l'intelligence artificielle a affiché un chiffre d'affaires de 981 millions de dollars pour le dernier trimestre, accompagné d'une perte nette de 314 millions de dollars.

    Bien que ces chiffres soient nettement supérieurs à ceux de la même période l'année précédente, la maison de courtage DA Davidson estime qu'ils ne suffisent pas à justifier le statut de CoreWeave en tant qu'hyperscaler IA prometteur. "Nous remettons en question la valeur de l'action", déclarent-ils sans détour.

    Lors de l'introduction en bourse de CoreWeave au début de l'année, des doutes avaient déjà été émis concernant le modèle économique de l'entreprise et son niveau d'endettement élevé. Aujourd'hui, D.A. Davidson retire sa recommandation de "conserver" et conseille désormais de vendre les actions de CoreWeave.

    De son côté, la maison de courtage Citi se montre un peu plus optimiste: "Le rapport révèle un dépassement significatif des attentes de chiffre d'affaires, avec 15 % de plus que prévu, soulignant ainsi une croissance exceptionnelle." Cependant, Citi nuance : "Le trimestre n'était pas parfait, plusieurs critères n'ont pas été atteints, notamment en ce qui concerne les dépenses en capital." Citi maintient ainsi sa recommandation de "conserver".

    À New York, l'action de CoreWeave

    enregistre une baisse d'un peu moins de 1%.

  • Le mauvais bulletin d'Alibaba va-t-il freiner le rebond de la Big Tech chinoise?

    Après avoir souffert de l'escalade de la guerre commerciale entre la Chine et les États-Unis, la Big Tech chinoise s'est petit à petit reprise. Une hausse qui devrait se poursuivre à moyen terme, et ce, malgré les résultats décevants d'Alibaba

    .

    Notre article sur les résultats d'Alibaba et la Big Tech chinoise

  • Le pétrole accroît ses pertes

    Donald Trump ayant évoqué ce jeudi un accord très proche entre les Etats-Unis et l'Iran sur le nucléaire, ce qui pourrait permettre une levée des sanctions contre Téhéran et une hausse de sa production de brut, le marché pétrolier recule fortement. En outre, l'Agence internationale de l'énergie (AIE) prévoit que la croissance de la demande mondiale de pétrole ralentira pour le reste de l'année.

    Le Brent perd 2,72% à 64,29 dollars le baril et le brut léger américain (West Texas Intermediate, WTI) 2,82% à 61,35 dollars après un repli en séance de plus de 3%. 

  • Le géant de la distribution Walmart prévoit d'augmenter ses prix en raison des droits de douane

    Face à l'ampleur de la hausse des tarifs douaniers, le géant américain Walmart

    a averti qu'il ne pourrait pas tout absorber, prévoyant des augmentations de prix à court terme.

    Notre article sur les hausses de prix de Walmart

  • Wall Street passe dans le vert

    Le Dow Jones et le S&P 500 gagnent désormais 0,5%, tandis que le Nasdaq avance de 0,3%.

  • Foot Locker tape son meilleur sprint en bourse après son rachat par Dick's Sporting Goods

    Dick's Sporting Goods

    a conclu un accord pour acquérir son plus petit concurrent, Foot Locker , pour un montant de 2,4 milliards de dollars, ont annoncé les deux entreprises. L'action Foot Locker fait le grand saut à Wall Street.

    Notre article sur ce rachat de Foot Locker

  • Les taux se replient

    Le rendement des bons du Trésor américain à dix ans se replie de 6,3 points de base, à 4,465%, et celui à deux ans recule de 6,7 points, à 3,986%. La faiblesse de l'inflation, des ventes au détail et des données sur l'industrie laisse la Fed en capacité de baisser ses taux directeurs dans le courant de l'année.

    En zone euro, les rendements ont suivi la tendance sur les Treasuries avec un taux du Bund allemand à dix ans qui a cédé en clôture 6,6 points de base, à 2,626%, tandis que le deux ans a perdu 5,7 points, à 1,883%.

  • Le dollar recule, la livre se raffermit

    Le dollar recule de 0,20% face à un panier de devises internationales après des données économiques, dont un indicateur de la santé des consommateurs montrant que les dépenses de détail ont ralenti en avril, les perspectives économiques incertaines pesant sur le sentiment.

    "Ce sont les droits de douane, mais c'est aussi la faiblesse sous-jacente des consommateurs américains à ce stade, et le deuxième trimestre sera un trimestre faible en termes de croissance, étant donné que nous l'avons abordé avec un moral bas et une grande incertitude politique", explique Thierry Wizman, stratège changes et taux chez Macquarie.

    L'euro grignote 0,05%, à 1,1180 dollar, tandis que la livre sterling s'échange à 1,3278 dollar (+0,14%).

  • Quelques valeurs dans l'actu

    • Les groupes pétroliers européens TotalEnergies, BP et Shell ont reculé de 0,47% à 3,34%, tandis que l'indice du secteur sur le Stoxx 600 a abandonné 0,98%.
    • Les groupes européens de défense Hensoldt, Rheinmetall et Renk ont progressé de 5,34% à 8,84% alors que le président ukrainien, Volodimir Zelensky, a indiqué qu'il n'y participerait pas en personne, en l'absence de son homologue russe Vladimir Poutine, aux pourparlers de paix directs entre la Russie et l'Ukraine en Turquie, préférant envoyer une délégation à Istanbul.
    • Engie a pris 3,56% à la faveur de résultats trimestriels en hausse portés par son pôle Infrastructures.
    • Ubisoft a plongé de 18,20% après l'annonce d'une baisse de 20,5% de ses réservations nettes ("net bookings") sur son exercice annuel.
    • Thyssenkrupp a chuté de 12,45%, le groupe allemand ayant enregistré un repli de son bénéfice d'exploitation trimestriel.
  • L'Europe clôt une séance volatile sur de faibles variations

    Les bourses européennes ont terminé sur de faibles variations une séance volatile marquée par une avalanche d'indicateurs macroéconomiques contrastés en Europe et aux États-Unis, alors que l'euphorie suscitée par l'accord provisoire sino-américain sur le commerce commence à s'estomper. À Paris, le CAC 40 a terminé sur un modeste gain de 0,21% à 7.853,47 points. Le Footsie britannique a avancé de 0,57% et le Dax allemand a progressé de 0,65%. L'indice EuroStoxx 50 a gagné 0,11%, le FTSEurofirst 300 0,52% et le Stoxx 600 0,51%. 

    Les grands indices en Europe et aux États-Unis ont alterné un pied dans le vert et un autre dans le rouge durant la séance à mesure que les investisseurs intégraient les dernières données économiques. Des indicateurs américains, publiés ce jeudi, ont montré une stagnation des inscriptions au chômage la semaine dernière, une contraction surprise des prix à la production (PPI) en avril, une progression inattendue des ventes au détail en avril, une stabilité de la production industrielle en avril, une amélioration des conditions d'activité dans la région de Philadelphie en mai et une baisse moins importante que prévu de l'indice d'activité "Empire State" en mai. Aucune de ces statistiques n'a entraîné de mouvements importants à Wall Street mais toutes montrent des signes de ralentissement de l'économie américaine même si celle-ci reste toujours solide.

    En Europe, la séance a également été marquée par une pluie d'indicateurs comme les chiffres de l'inflation en France, le produit intérieur brut (PIB) britannique et en zone euro, ainsi que des données sur la production industrielle dans ces deux zones géographiques. Ces statistiques sont ressorties également contrastées, mais c'est le compartiment de l'énergie, avec un possible accord sur le nucléaire entre les États-Unis et l'Iran, qui a surtout influé sur les échanges.

  • Melexis termine en tête du Bel 20

    L'indice phare de la Bourse de Bruxelles a terminé en hausse de 0,33% à 4.402,28 points. Il a été particulièrement soutenu par Melexis

    , qui a pris 2,07%. Argenx a gagné 1,78%, Cofinimmo 1,78% et AB InBev 1,72%.

    À l'inverse, Aedifica

    a lâché 5,21%, Syensqo 2,51%, AvH 1,22% et Azelis 1,21%.

  • Europe | Clôture

    Bel 20: +0,33%

    FTSE 100: +0,50%

    DAX: +0,65%

    CAC 40: +0,16%

  • Le bitcoin recule

    Le bitcoin baisse de 0,65% à 102.628 dollars. 

  • L'euro numérique profitera aux banques, selon Piero Cipollone (BCE)

    L'euro numérique, version dématérialisée des espèces prévue pour la fin de la décennie, présentera des avantages pour les banques, a vanté ce jeudi Piero Cipollone, membre du directoire de la Banque centrale européenne en visite à Paris. Les établissements bancaires, inquiets de voir ce projet porté par la BCE grignoter leurs parts de marchés dans l'univers lucratif des paiements, partagent régulièrement leurs doutes sur son intérêt.

    Les banques pourront pourtant augmenter leur chiffre d'affaires grâce à l'euro numérique, et accélérer le développement de leurs solutions propres en profitant de standards communs sur le continent, a mis en avant M. Cipollone, à l'occasion d'une conférence organisée par la Banque de France. "Quand nous payons avec un système de paiement international (comme les géants américains Visa et Mastercard, NDLR), nos banques perdent des commissions", a expliqué le membre du directoire de la BCE. "Quand nous payons avec Apple Pay, PayPal, et les autres, nos banques ne perdent pas seulement des commissions, elles perdent les données" relatives à ces paiements, a-t-il ajouté.

    Les banques bénéficieront également du standard technique de l'euro numérique - déployé à grande échelle une fois adopté - pour promouvoir leurs propres solutions de paiements, à l'image de Wero, principalement porté par les banques françaises et allemandes, ou EuroPA, solution concurrente des acteurs italiens, espagnols et portugais.

  • Le pétrole lâche plus de 2%

    Les cours du pétrole baisse après que Trump a laissé entrevoir un accord sur le dossier du nucléaire iranien, susceptible de faciliter les exportations de pétrole de Téhéran.

    Le prix du baril de Brent de la mer du Nord recule de 2,38% à 64,52 dollars et son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate, baisse de 2,41% à 61,63 dollars.

  • Le dollar continue de se replier

    Le dollar continue de perdre du terrain, les investisseurs se montrant circonspects quant à la pérennité de l'accalmie commerciale.

    Le billet vert perd 0,23% face à l'euro, à 1,1200 dollar. 

  • Vers une réduction significative des exigences de fonds propres pour les banques US

    Les autorités américaines se préparent à annoncer l'une des plus importantes réductions des exigences de fonds propres pour les banques depuis plus d'une décennie, rapporte le Financial Times. Selon plusieurs sources proches du dossier citées par le journal, les régulateurs américains s'apprêtent à réduire le ratio de levier supplémentaire (SLR), un coussin de capitaux destinés à absorber des pertes éventuelles, au cours des prochains mois.

    Une telle révision réduirait les liquidités mises de côté par les banques et augmenterait leurs capacités de financement pour octroyer des prêts ou mener d'autres activités, comme par exemple sur le marché des bons du Trésor qui a connu de fortes turbulences ces dernières semaines. Le secteur bancaire américain est optimiste concernant cette évolution alors que les régulateurs ont déjà mis en évidence que le SLR méritait d'être à nouveau examiné afin, notamment, d'ouvrir la possibilité aux grandes banques d'alléger le poids des investissements sûrs comme les bons du Trésor.

    Cette évolution interviendrait dans une politique globale de dérégulation du système financier américain qui interpelle notamment l'Union européenne. Le président français Emmanuel Macron a, par exemple, appelé l'Europe à "resynchroniser" sa réglementation financière avec les États-Unis afin de ne pas entraver la capacité d'investissement des banques et des assurances.

  • La production industrielle reste stable en avril

    La production industrielle aux États-Unis est restée stable en avril, montrent les statistiques officielles publiées ce jeudi. La Réserve fédérale a fait état d'une stabilité de la production industrielle le mois dernier, après -0,3% en mars.

    Les analystes tablaient sur une hausse de 0,2%. La production manufacturière a quant à elle reculé de 0,4% le mois dernier, après +0,4% (révisé de +0,3%) en mars et un consensus à -0,2%.

  • Apple doit produire aux États-Unis plutôt qu'en Inde, dit Trump

    Le président américain Donald Trump a affirmé ce jeudi à Doha, au Qatar, que le géant américain de la tech Apple

    devait produire aux États-Unis plutôt qu'en Inde, au moment où Washington et New Delhi négocient un accord commercial dans un contexte tendu.

    "J'ai dit à Tim (Cook, le directeur général d'Apple, NDLR), nous vous avons très bien traités. Nous avons accepté toutes les usines que vous avez construites en Chine durant des années", a tancé le Président lors d'une rencontre avec des chefs d'entreprise à Doha. "Ça ne nous intéresse pas que vous en construisiez en Inde. L'Inde peut s'occuper d'elle-même toute seule, elle va très bien", a-t-il poursuivi, à l'occasion de la deuxième étape de sa tournée dans le Golfe. "Nous voulons que vous construisiez ici (aux États-Unis, NDLR)".

    Lors de la présentation de ses derniers résultats début mai, Tim Cook avait dit s'attendre à ce que "la majorité des iPhone vendus aux États-Unis" pendant le trimestre en cours proviennent d'Inde. La mesure permettait d'éviter des droits de douane de 145% appliqués par les États-Unis aux produits venus de Chine, traditionnellement cœur de la fabrication des célèbres smartphones. Depuis, les deux pays se sont mis d'accord pour une trêve de 90 jours sur leurs surtaxes douanières.

  • Le patron de la Fed s'attend à des chocs "plus fréquents" sur les chaînes de production

    Les secousses frappant les chaînes de production mondiale risquent d'être "plus fréquentes" et leurs effets "plus persistants", estime le président de la Réserve fédérale américaine (Fed) Jerome Powell. "Il se peut que nous entrions dans une période de chocs d'offre plus fréquents et potentiellement plus persistants - un défi difficile à relever pour l'économie et les banques centrales", a déclaré M. Powell en introduction d'une conférence au sein de la banque centrale américaine.

    L'offensive protectionniste du président Donald Trump, depuis son retour à la Maison Blanche en janvier, a fait l'effet d'un tremblement de terre sur la marche des affaires, aux Etats-Unis et dans le reste du monde. Depuis, la Fed a préféré laisser ses taux d'intérêt inchangés, le temps d'évaluer les conséquences sur l'économie américaine et la réponse appropriée. Cela lui attire des critiques répétées de Donald Trump qui estime qu'elle devrait baisser ses taux d'intérêt.

    Un tel mouvement aurait le mérite de donner un coup de fouet à une économie chahutée par ses droits de douane, en abaissant le coup du crédit pour les entreprises et les particuliers, mais les responsables de la Fed ont montré qu'ils étaient avant tout concentrés sur le risque de déraillement des prix.

  • Cisco Systems relève ses prévisions

    Cisco Systems

    avance de 3,71% à la faveur du relèvement de ses prévisions annuelles et de la nomination de Mark Patterson au poste de directeur financier.

  • Sous le coup d'une enquête, Unitedhealth chute à New York

    Unitedhealth

    chute de 13,24% après des révélations du Wall Street Journal concernant une enquête du département américain de la Justice (DoJ) sur une possible fraude à Medicare.

  • Wall Street en repli, entre prises de bénéfice et inquiétudes

    La Bourse de New York a ouvert en baisse, l'euphorie suscitée par l'accord provisoire sino-américain sur le commerce s'étant estompée alors que les investisseurs digèrent une série d'indicateurs macroéconomiques et un discours du président de la Réserve fédérale américaine (Fed) appelant à une révision de la stratégie de la banque centrale. Le Dow Jones perd 0,45% à 41.861,36 points. Le S&P 500 recule de 0,42% à 5.867,71 points. Le Nasdaq cède 0,68% à 19.017,10 points.

    Une heure avant l'ouverture de Wall Street, le marché a pris connaissance de plusieurs indicateurs américains montrant une stagnation des inscriptions au chômage la semaine dernière, une contraction surprise des prix à la production (PPI) en avril, une progression inattendue des ventes au détail en avril et une amélioration des conditions d'activité dans la région de Philadelphie en mai. Ces statistiques contrastées sont publiées alors que l'hypothèse d'une résurgence de l'inflation et d'une récession aux Etats-Unis reste sur la table, malgré la trêve sur les droits de douane signée par Washington et Pékin.

    Dans un discours inaugural à la Thomas Laubach Research Conference, le président de la Fed, Jerome Powell, a souligné que le monde avait changé depuis 2020 et que la stratégie de la banque centrale devrait en conséquence s'adapter à la nouvelle donne alors que des chocs d'offre associés à des hausses de prix pourraient devenir plus fréquents dans les années à venir.

  • Les plus gros mouvements à l'ouverture de Wall Street

    • Tesla a revendu de nombreux véhicules prévus pour le leasing qui avaient été officiellement rappelés pour en faire des "robotaxis", leur fournissant à la place des mises à jour logicielles afin de les revendre à un prix bien plus élevé, a rapporté Reuters.
    • Walmart lâche 4% après avoir fait état de ventes comparables et d'un revenu par action ajusté supérieurs aux attentes, tandis que ses ventes nettes ont manqué les attentes de peu, selon les données LSEG. Le groupe n'a pas fourni de prévision de bénéfice pour le deuxième trimestre mais a maintenu ses prévisions annuelles.
    • Foot Locker s'envole de 83%, le Wall Street Journal ayant rapporté que Dick's Sporting Goods est sur le point de conclure un accord pour racheter Foot Locker pour environ 2,3 milliards de dollars, représentant une prime de 86,5% par rapport au dernier cours de clôture de sa cible. Dick's Sporting Goods recule de 12,6%.
    • Coinbase  recule de près de 5% après avoir déclaré anticiper des coûts situés entre 180 millions de dollars et 400 millions de dollars après avoir été victime d'une cyberattaque.
  • Les marchés US ouvrent dans le rouge

    Le Dow Jones et le Nasdaq lâchent 0,57%, tandis que le S&P 500 perd 0,39%.

  • Les valeurs européennes de l'aérospatial et de la défense prennent l'ascenseur

    Les valeurs européennes de l'aérospatial et de la défense prennent l'ascenseur, Hensoldt bondit de 8,3%, Rheinmetall de 4,5% et Leonardo de 3,4%. 

    Les investisseurs s'ajustent aux commentaires du ministre allemand des Affaires étrangères Johann Wadephul, qui a soutenu l'appel du président américain Donald Trump aux membres de l'Otan pour qu'ils augmentent leurs objectifs de dépenses de défense à 5% de leur PIB individuel.

  • Stagnation des inscriptions au chômage aux États-Unis, à 229.000 unités

    Les inscriptions au chômage aux États-Unis n'ont pas varié lors de la semaine au 10 mai, restant à 229.000 comme la semaine précédente, a annoncé jeudi le département du Travail.

    Les économistes attendaient en moyenne également 229.000 inscriptions au chômage.

    Les inscriptions de la semaine au 3 mai ont été révisées en hausse par rapport à une estimation initiale de 228.000.

    La moyenne mobile sur quatre semaines s'établit à 230.500 contre 227.250 (révisé) la semaine précédente.

  • Les prix à la production aux États-Unis chutent de manière inattendue

    Les prix à la production aux États-Unis ont chuté de 0,5 % en avril 2025, après une lecture révisée à stable en mars et défiant les attentes du marché d'une augmentation de 0,2%. Il s'agit de la première baisse de l'indice PPI depuis octobre 2023 et de la forte baisse depuis avril 2020, au lendemain de l’épidémie de Covid-19.

    Sur une base annuelle, l'inflation des prix à la production a diminué à 2,4% en avril, le plus bas niveau depuis septembre 2024 et légèrement en dessous des prévisions de 2,5%.

  • Les ventes au détail aux États-Unis augmentent à peine en avril

    La croissance des ventes au détail aux États-Unis a ralenti en avril, l'effet positif des achats anticipés de véhicules automobiles par les ménages avant les droits de douane s'étant estompé et les ménages ayant réduit leurs autres dépenses, dans un contexte de perspectives économiques incertaines.

    Les ventes au détail ont légèrement augmenté de 0,1% le mois dernier après une révision à la hausse à 1,7% en mars, a annoncé jeudi le Bureau du recensement du ministère du Commerce.

    Les économistes interrogés par Reuters avaient prévu que les ventes au détail, qui concernent principalement des biens et ne sont pas ajustées à l'inflation, resteraient inchangées après une hausse de 1,5% précédemment annoncée en mars. 

    Les estimations variaient entre une baisse de 0,6% et une hausse de 0,4%.

  • Deere dépasse les attentes mais réduit sa fourchette de prévisions

    Deere & Co

    , le plus grand fabricant mondial de tracteurs et de machines agricoles, a vu ses ventes au deuxième trimestre chuter de 18% à 11,17 milliards de dollars. Les analystes s'attendaient à une baisse encore plus importante, à 10,8 milliards de dollars. Le bénéfice net s'est élevé à 6,64 dollars par action, contre 8,53 dollars un an plus tôt, mais là aussi Deere a dépassé la barre des 5,58 dollars. L’entreprise a pris des mesures de réduction des coûts, réduit sa production et ajusté sa gestion des stocks.

    Les agriculteurs investissent actuellement moins dans les tracteurs et les moissonneuses. Ils sont confrontés à des taux d’intérêt plus élevés et à des prix plus faibles pour leurs produits. C’est pourquoi de nombreuses personnes se tournent vers la location de matériel, ce qui exerce naturellement une pression sur les ventes. Les droits de douane imposés par le président Trump ont également augmenté les coûts de production et créé de l’incertitude.

    Deere abaisse la limite inférieure de sa fourchette de prévisions de bénéfices pour cette année. L'entreprise vise désormais un bénéfice net compris entre 4,75 et 5,5 milliards de dollars, contre 5 à 5,5 milliards de dollars auparavant.

  • Tracker Talk #92 | Pause ou paix durable sur les marchés

    Les invités du podcast Tracker Talk reviennent sur le net rebond des actifs à risque constaté sur les marchés, un rebond alimenté par les progrès des négociations commerciales. 


  • AG d'Euronext: la rémunération des dirigeants du groupe pour 2024 rejetée

    Les actionnaires de l'opérateur boursier paneuropéen Euronext ont rejeté la rémunération des dirigeants du groupe pour 2024, à l'issue d'un vote consultatif au cours de l'assemblée générale jeudi à Amsterdam. Un actionnaire néerlandais a notamment critiqué la manière dont Euronext a établi le seuil de déclenchement d'une part variable de la rémunération des dirigeants du groupe.

  • Coinbase touchée par une cyberattaque

    La plateforme d'échange de crypto-monnaies Coinbase

    s'attend à encourir entre 180 et 400 millions de dollars de coûts liés à une cyberattaque. 

    La société a déclaré que les données de compte, y compris les noms, les adresses et les e-mails, avaient été volées pour un "petit sous-ensemble" de ses clients, mais les attaquants n'ont pas eu accès aux informations de connexion ou aux mots de passe. "Nous rembourserons les clients qui ont été trompés en envoyant des fonds à l'attaquant", a déclaré Coinbase.

    Le titre recule de 2,10% dans les échanges d'avant-bourse.

  • Walmart met en garde contre une hausse des prix et maintient ses prévisions annuelles

    Les ventes comparables de Walmart

    aux États-Unis ont dépassé les attentes au premier trimestre, mais le géant de la vente au détail connu pour ses produits abordables a déclaré que les coûts élevés des tarifs douaniers pourraient signifier qu'il ne peut pas s'empêcher de répercuter les prix plus élevés sur les acheteurs dans un avenir proche.

    La société est devenue la dernière à éviter de donner jeudi ses prévisions de bénéfices pour le deuxième trimestre en raison de l'incertitude entourant les tarifs douaniers de Donald Trump qui ont perturbé le commerce mondial.

    Nous ferons de notre mieux pour maintenir nos prix aussi bas que possible, mais compte tenu de l'ampleur des tarifs, même aux niveaux réduits annoncés cette semaine, nous ne sommes pas en mesure d'absorber toute la pression étant donné la réalité des marges de détail étroites.

    Doug McMillon
    CEO de Walmart

    Le détaillant a toutefois maintenu intactes ses prévisions de ventes et de bénéfices annuels pour l'exercice 2026.

    Il continue de s'attendre à un bénéfice par action ajusté pour l'exercice se terminant en janvier 2026 de l'ordre de 2,50 dollars à 2,60 dollars et à une augmentation des ventes annuelles comprise entre 3% et 4%.

    Walmart gagne 2,4% dans les échanges d'avant-bourse.

  • Chiffre d'affaires trimestriel inférieur aux attentes pour Alibaba, le titre chute avant la cloche

    Alibaba a publié jeudi un chiffre d'affaires trimestriel inférieur aux attentes, alors que le géant chinois du commerce électronique élabore de nouvelles stratégies pour stimuler les dépenses des consommateurs, malgré la faiblesse persistante de l’économie et les incertitudes commerciales.

    L'action du groupe cotée en bourse aux États-Unis chute de 5% avant la cloche.

  • UnitedHealth chute en pré-marché sur des soupçons de fraude

    Le plus grand assureur santé américain UnitedHealth

    est attendu en forte baisse à la Bourse de New York après des révélations du Wall Street Journal concernant une enquête du département américain de la Justice (DOJ) sur une possible fraude à Medicare.

    Le titre UnitedHealth perd 6,6% en pré-ouverture, alors que les futures sur indices new-yorkais suggèrent une ouverture en baisse de 0,37% pour le Dow Jones et de 0,5% pour le Standard & Poor's.

    L'unité de lutte contre la fraude dans le secteur de la santé du DOJ supervise une enquête criminelle portant sur les pratiques commerciales de l'entreprise dans le cadre du programme Medicare Advantage, selon des sources proches du dossier citées par le Wall Street Journal.

    Le titre avait déjà clôturé en baisse de 17,79% mardi après l'annonce de la démission de son directeur général Andrew Witty et la suspension de ses prévisions pour 2025. Au plus bas depuis quatre ans, le cours de l'action a connu une plus faible diminution mercredi, clôturant en baisse de 1,08%.

    Morgan Stanley a par ailleurs réduit jeudi son objectif de cours sur le titre de l'assureur santé de 563 dollars à 374 dollars, Barclays l'abaissant de son côté de 513 dollars à 364 dollars.

    En 2024, Brian Thompson, directeur général de l'unité assurance d'UnitedHealth, avait été abattu en pleine rue.

  • Dick's Sporting Goods sur le point d'acheter Foot Locker

    Dick's Sporting Goods est sur le point de conclure un accord pour acheter Foot Locker pour environ 2,3 milliards de dollars, selon le Wall Street Journal.

    Dick's Sporting Goods chute de 8% dans les échanges électroniques avant l'ouverture. Foot Locker s'envole de 82%.

    Sur base des discussions en cours, Dick's paierait 24 dollars par action pour Foot Locker, a déclaré l'une des personnes interrogées. Un accord pourrait être annoncé dès jeudi, ont indiqué ces personnes, demandant à ne pas être identifiées, car les discussions étaient privées. 

    Les actions de Foot Locker ont augmenté de 82% à 23,45 dollars dans les échanges avant-bourse jeudi.

    Le Wall Street Journal estime la valeur de l'opération à 2,3 milliards de dollars.

  • Barclays sur Ubisoft: "Une autre année à brûler du cash"

    L'éditeur français de jeux vidéo Ubisoft

    dégringole de 17% en bourse après avoir prévenu d'un flux de trésorerie disponible négatif pour son exercice 2025-2026, en raison de sa volonté de prendre le temps de développer certains de ses nouveaux jeux.

    "Nous avons décidé de fournir du temps de développement supplémentaire à certaines de nos plus grandes productions", a déclaré le directeur général du groupe Yves Guillemot mercredi dans un communiqué, ajoutant que cela se solderait par la sortie de "contenus significatifs" sur les exercices 2026-2027 et 2027-2028 pour ses principales franchises.

    Le créateur de jeux vidéos anticipe donc un "free cash flow" négatif pour l'exercice 2025-2026 ainsi qu'une stagnation de ses "net bookings".

    Sur son exercice 2024-2025, les net bookings ont accusé une chute de 20,5% à 1,85 milliard d'euros, soit un résultat inférieur aux attentes des analystes qui tablaient sur 1,89 milliard d'euros.

    Les perspectives de free cash flow sont bien en dessous des attentes.

    Les analystes de Barclays

    "Une autre année à brûler du cash", ont observé les analystes de Barclays dans une note, signalant que les perspectives de free cash flow étaient "bien en dessous" des attentes avec "aucun lancement surprise pour leur venir en aide".

    Ubisoft prévoit de renouer avec une génération de free cash flow lors de l'exercice 2026-2027, mais "les investisseurs le croiront quand ils le verront", pointent les analystes.

    Pour les analystes de TP ICAP Midcap, ces prévisions constituent une "nouvelle douche froide". Ils ont abaissé leur recommandation sur le titre à "conserver" contre "acheter".

  • La croissance du PIB en zone euro revue à la baisse au premier trimestre

    La croissance économique de la zone euro a été un peu moins forte au premier trimestre qu'initialement annoncé, le produit intérieur brut (PIB) progressant de 0,3% par rapport au trimestre précédent, a indiqué jeudi Eurostat.

    Dans une première estimation publiée le 30 avril, l'office européen des statistiques avait fait état d'une croissance de 0,4% pour les 20 pays partageant la monnaie unique.

    En revanche, le chiffre pour l'ensemble de l'Union européenne est inchangé à 0,3%.

  • Les trois raisons de la chute de l'action ThyssenKrupp

    Thyssenkrupp

     chute d'un peu plus de 10%après avoir fait état d'une chute de son bénéfice trimestriel due à la baisse des prix, au recul de la demande et à des arrêts de production pour maintenance.

  • Le prix du pétrole Brent chute de 4%

    Les cours du pétrole plongent de 3,8%, après que le président américain Donald Trump a affirmé que Washington et Téhéran se rapprochaient sur le nucléaire iranien.

    Le prix du baril de Brent chute de 3,6% à 63,72 dollars et le baril de West Texas Intermediate perd 3,81% à 60,29 dollars, après que Donald Trump a déclaré depuis le Qatar que les deux pays se rapprochaient "de la conclusion" d'un accord.

    Les remarques du Président américain sont intervenues après que les deux parties ont tenu dimanche leur quatrième cycle de négociations qui a débuté le mois dernier, et qui représente le contact le plus élevé depuis que Donald Trump s'est retiré en 2018 d'un accord vieux de trois ans.

    Ali Shamkhani, un conseiller du guide suprême iranien Ali Khamenei, avait affirmé mercredi à la chaîne américaine NBC News que l'Iran était prêt à accepter un accord avec les États-Unis sur son programme nucléaire en échange de la levée immédiate des sanctions. 

  • Un fidèle fan jette l'éponge: "Alfen est une entreprise en croissance qui ne grandit pas"

    KBC Securities n'est plus du côté des acheteurs pour Alfen. L'analyste Thibault Leneeuw abaisse sa recommandation à "conserver" après un rapport trimestriel décevant du groupe de bornes de recharge mardi. La plus grande déception pour Leneeuw se situe dans le segment Smart Grid.

    "Le segment Smart Grid, où nous attendions des chiffres solides, connaîtra également une baisse de chiffre d'affaires en 2025", déclare Leneeuw. "Bien que le réseau électrique néerlandais soit sous-développé, les pénuries de main-d’œuvre et les réglementations plus strictes réduisent la demande de postes de transformation. Les marges sont également bien pires que prévu."

    "Les tendances du marché sont favorables, mais la confiance dans la direction est très faible", explique Leneeuw. La révision à la baisse du conseil s'accompagne d'un objectif de cours abaissé, de 20 à 15 euros par action.

  • "L'UE et les États-Unis sont convenus d'intensifier leurs discussions commerciales"

    L'Union européenne et les États-Unis sont convenus d'intensifier leurs discussions en vue d'un accord commercial pour surmonter la crise déclenchée par les hausses de droits de douane décrétées par le président américain Donald Trump, a déclaré jeudi le commissaire européen au Commerce.

    "J'ai eu hier un nouvel appel constructif avec le secrétaire américain au Commerce, Howard Lutnick", a dit Maros Sefcovic aux journalistes avant une réunion des ministres européens du Commerce à Bruxelles.

    "Nous nous sommes convenus d'intensifier notre implication au niveau technique et je suis en contact régulier avec lui. Je pense que nous allons nous voir très bientôt, le plus probablement ici à Bruxelles ou lors des réunions de l'OCDE", a-t-il ajouté.

  • Le point sur la tendance boursière

    Les bourses européennes reculent, après une salve de résultats et dans l'attente de plusieurs indicateurs macroéconomiques majeurs.

    Amsterdam perd 0,79%, Londres 0,53%, Paris 0,44% et Francfort 0,28%. L'indice Euro Stoxx 50 rétrograde de 0,66%.

    L'enthousiasme qui s'est emparé des marchés en début de semaine, après l'annonce de l'apaisement des tensions entre les États-Unis et la Chine, semble s'être dissipé, les investisseurs guettant à présent le prochain catalyseur.

    De nombreux indicateurs macroéconomiques sont prévus en cours de séance, y compris le PIB "flash" de la zone euro au premier trimestre et les ventes au détail aux États-Unis, qui pourraient fournir des indices sur la santé économique américaine.

    L'économie britannique a connu un rebond plus important que prévu au premier trimestre, tandis que les prix à la consommation en France ont progressé de 0,8% sur un an en avril, conformément à la première estimation.

    Le président de la Réserve fédérale Jerome Powell doit s'exprimer plus tard dans la journée après que la banque centrale américaine a décidé, lors de sa dernière réunion, de temporiser avant une nouvelle baisse des taux face à l'incertitude causée par les droits de douane.

    ©Andreas Arnold/Dpa
  • Claque boursière pour Ubisoft qui chute de 19%

    Ubisoft

     chute de 19% après avoir annoncé une baisse de 20,5% de son net bookings pour l'ensemble de son exercice décalé 2024/2025, après des partenariats inférieurs aux attentes pour des raisons de calendrier.

  • Aedifica ex-dividende

    L'action Aedifica

    cote ex-coupon numéro 35 ce jeudi 15 mai. Il donne droit au dividende brut de 3,90 euros par action.

    Aedifica étant une SIR qui investit plus de 80% de son portefeuille immobilier dans l’immobilier de santé résidentiel en Europe, le précompte mobilier s’élève à 15%. Après déduction de ce précompte mobilier de 15%, le dividende net total s’élèvera à 3,315 euros.

  • Les marchés à l'ouverture

    • Amsterdam: -0,76%
    • Bruxelles: -0,29%
    • Paris: -0,25%
    • Francfort: n.c.
    • Syensqo : -1,71%
    • KBC Groupe : +1,13%
    • Engie: -0,6%
  • Kepler Cheuvreux sur Syensqo: "Une prévision inutile"

    Syensqo

    a exclu de sa prévision d'ebitda pour 2025 les effets négatifs des tarifs douaniers et des taux de change, leur impact étant incertain, constatent les analystes de Kepler Cheuvreux. "Cette prévision est donc inutile", écrivent-ils.

  • Degroof Petercam sur Syensqo: "La décote de plus de 20% est excessive"

    L'ebitda du premier trimestre de Syensqo a été légèrement supérieur aux attentes, notent les analystes de Degroof Petercam. "Les prévisions pour l'exercice 2025, d'un ebitda supérieur à 1,4 milliard d'euros, restent en vigueur, mais l'impact négatif potentiel des droits de douane et des taux de change est désormais exclu", font-ils remarquer. "Nous sommes légèrement en dessous de cet objectif et maintenons nos estimations globalement inchangées."

    Ils jugent "la décote de plus de 20% par rapport au multiple moyen pondéré du groupe de référence excessive compte tenu de la qualité des actifs".

    Le conseil d'achat est maintenu avec un prix cible de 86 euros.

    Syensqo devrait afficher un cours théorique d'ouverture de 66,26 euros, sur base des données Euronext. Le titre a clôturé mercredi soir à 66,84 euros.

  • Briefing d'avant-bourse

    Les marchés européens sont attendus en petite baisse, dans l'attente de plusieurs indicateurs économiques en zone euro et aux États-Unis.

    Les contrats à terme signalent une baisse de 0,3% à Francfort et Paris et pour l'indice Stoxx 600, mais un début de séance stable à Londres.

    L'euphorie générale suscitée par l'annonce d'un apaisement des tensions commerciales entre la Chine et les États-Unis semble s'être dissipée, les investisseurs guettant à présent le prochain catalyseur.

    Le géant de la distribution Walmart publiera ses résultats trimestriels avant l'ouverture de Wall Street et les investisseurs surveilleront toute éventuelle modification des prévisions.

    Du côté des indicateurs macroéconomiques, les ventes au détail aux États-Unis pour le mois d'avril, qui seront publiées à 14h30, donneront un autre aperçu du moral du consommateur américain. Les investisseurs tentent de s'accrocher à tout indice qui permettrait d'évaluer si la plus grande économie du monde risque une récession et si la Réserve fédérale (Fed) pourrait adopter une approche plus agressive dans ses réductions des taux.

    Le président de la Fed Jerome Powell, qui a fait l'objet de critiques véhémentes de la part de Donald Trump pour son attentisme, doit s'exprimer plus tard dans la journée.

    En Europe, les chiffres du PIB préliminaire du Royaume-Uni et de la zone euro au premier trimestre sont attendus dans la matinée, même si les investisseurs risquent de n'y prêter que peu d'attention vu que ces données prédatent l'imposition d'une lourde vague de droits de douane américains.

  • Bon démarrage pour Engie en 2025, le cap stratégique (sans nucléaire) renforcé

    L'année 2025 commence bien pour l'énergéticien français Engie

    . Porté par ses activités renouvelables et dans les infrastructures, le groupe a pu compenser la contraction des revenus dans ses pôles trading et gaz, et ainsi, battre les attentes des analystes.

    Ceux-ci prédisaient, en effet, une "normalisation" dans ces deux métiers de l'énergéticien, qui avaient largement profité de la forte volatilité (exceptionnelle?) des marchés de l'énergie ces dernières années. In fine, le chiffre d'affaires du groupe est en hausse de 5,6% au premier trimestre, à 23,3 milliards d'euros et l'ebit, que les analystes voyaient chuter, affiche 3,7 milliards, en légère hausse par rapport aux trois premiers mois de 2024.

    "Notre portefeuille de projets équilibré, à la fois en termes de géographie et d’activités, est un atout pour poursuivre notre stratégie de croissance dans le contexte mondial actuel incertain", s'est félicitée la directrice générale Catherine MacGregor, fraîchement reconduite à la tête du groupe pour un nouveau mandat de quatre ans.

    Des bonnes nouvelles qui permettent au groupe de confirmer ses prévisions sur l'année, à savoir un résultat net attendu 4,4 et 5,0 milliards d'euros et un ebit situé dans une fourchette de 8 à 9 milliards d’euros.

  • KBC rachète une banque en Slovaquie et va verser plus de dividendes à ses actionnaires

    En marge de résultats supérieurs aux attentes, KBC annonce le rachat de 98,45% de 365.bank en Slovaquie, valorisée à 761 millions d'euros. Le groupe revoit aussi sa politique de rémunération des actionnaires.

    Pour l'exercice 2024, le dividende s'est élevé au total à 4,85 euros par action. Jusqu'ici, KBC se fixait comme règle de reverser 50% de son bénéfice sous forme de dividendes (et de coupon sur des obligations AT1). À partir de 2025, ce ratio de distribution sera compris entre 50 et 65% du résultat consolidé, dont 1 euro d'acompte sur dividende versé chaque année en novembre.

  • Allianz dégage un bénéfice d'exploitation trimestriel record

    Allianz

    a annoncé jeudi un résultat opérationnel (ebit) record au premier trimestre, en hausse annuelle de 6% à 4,24 milliards d'euros, grâce à un impact limité des catastrophes naturelles, alors que le bénéfice net a reculé.

    Le premier assureur européen a légèrement dépassé les attentes en termes de résultat opérationnel, tandis qu'il a fait moins bien que prévu côté bénéfice attribuable aux actionnaires, qui a atteint 2,4 milliards d'euros, en baisse annuelle de 2%.

    Ce recul est lié à une provision fiscale exceptionnelle liée à la cession à venir d'une participation dans des co-entreprises en Inde, a expliqué le groupe.

  • Thyssenkrupp repasse dans le vert

    Le conglomérat industriel allemand Thyssenkrupp

    est repassé dans le vert entre janvier et mars grâce à une vente dans sa branche sidérurgique et a maintenu ses prévisions annuelles, mais reste fragilisé par les déboires de l'acier et de l'automobile.

    Au deuxième trimestre de son exercice décalé 2024/2025, le bénéfice net est ressorti à 167 millions d'euros, contre une perte nette de 72 millions d'euros l'an dernier, selon un communiqué publié jeudi. C'est une première après six trimestres consécutifs dans le rouge, mais les analystes de la plateforme Factset s'attendaient à un meilleur bénéfice net, à 235 millions d'euros.

    Le groupe d'Essen a principalement été soutenu par la vente de son activité d'acier électrique de son unité indienne pour 270 millions d'euros.

    Thyssenkrupp a confirmé ses prévisions annuelles, avec un retour aux bénéfices entre 100 et 500 millions d'euros en 2025 après deux lourdes pertes annuelles.

    Pour se renflouer, le conglomérat mise sur la scission de sa branche TKMS spécialisée dans les sous-marins, dont les ventes ont stagné à 533 millions d'euros et les commandes ont augmenté au deuxième trimestre.

  • Deux nouveaux membres au CA de Melexis

    Melexis

    annonce la nomination de deux nouveaux membres au conseil d'administration, suite à l'approbation de l'assemblée générale annuelle des actionnaires du 13 mai 2025. L'arrivée de Mme Ling Qi et de M. Kazuhiro Takenaka soulignent les ambitions de Melexis en Asie-Pacifique, précise la société de semi-conducteurs microélectroniques.

    Ling Qi possède plus de 20 ans d'expérience en gestion d'entreprise internationale. Elle est actuellement CEO de deux sociétés de multimédia et de films d'animation.

    Kazuhiro Takenaka cumule plus de 45 ans de carrière fructueuse dans le secteur des semi-conducteurs et de l'ingénierie électronique, au sein d'entreprises renommées telles que Nissan Motor et Seiko Epson.

    Cette annonce porte à sept le nombre de membres du conseil d'administration, dont Françoise Chombar assure la présidence.

  • Chiffre d'affaires stable pour Syensqo au premier trimestre

    Syensqo

    , le chimiste de spécialités, a fait état jeudi d'un chiffre d'affaires net de 1,6 milliard au premier trimestre 2025, resté à peu près stable d'une année sur l'autre, en raison de volumes légèrement plus faibles (-1%)  alors que les prix sont restés stables.

    La marge brute de 514 millions a diminué de 12% d'une année sur l'autre, principalement en raison d'un mix défavorable et de volumes plus faibles, entraînant une marge brute de 31,7%. Sur une base séquentielle, le bénéfice brut a augmenté de 7%.

    L'ebitda sous-jacent de 311 millions a diminué de 15% d'une année sur l'autre de manière organique, principalement en raison d'un ebitda plus faible dans les Specialty Polymers, partiellement compensé par un ebitda plus élevé dans les Technology Solutions.

    Sur une base séquentielle, l'ebitda sous-jacent a augmenté de 5%. Le bénéfice net sous-jacent est de 100 millions.

    Syensqo indique un cash-flow opérationnel de 176 millions et un free cash flow de 37 millions, impactés par le phasage des dépenses d'investissement.

    Le programme de rachat d'actions lancé pour soutenir le cours de bourse se monte à un rachat d'environ 758.000 actions, soit 56 millions d'euros.

  • KBC en mode acquisition

    KBC Bank SA et J&T Finance Group SE, basé en République tchèque et actionnaire majoritaire de 365.bank a.s., ont conclu un accord prévoyant l'acquisition par KBC d'une participation de 98,45% dans 365.bank (en numéraire), sur base d'une valeur totale de 761 millions d'euros pour 365.bank.

    Plus d'informations sous peu

  • Bpost | Care Property | MDxHealth | Shurgard | Tessenderlo

    Quelques valeurs à suivre puisqu'elles ont publié des communiqués depuis la clôture mercredi.

    Bpost

    - L'assemblée générale de bpost a approuvé, ce mercredi, la nomination de Françoise Roels comme administratrice. Et le conseil d'administration l'a désignée présidente dans la foulée. Notre article sur la nomination de Françoise Roels comme administratrice de bpost

    Care Property

    - Care Property Invest, acteur clé du secteur immobilier, anticipe désormais pour l'année en cours un bénéfice epra de 1,08 euro par action. Cette annonce, issue de leur dernier rapport trimestriel, marque une légère révision à la hausse par rapport à la prévision initiale de 1,07 euro par action annoncée lors des résultats annuels.
    Le dividende, quant à lui, reste fixé à 1 euro brut par action, soit un rendement brut de 7,7% par rapport au cours de clôture actuel, et un rendement net de 5,4%.

    MDxHealth

    - Le spécialiste wallon des tests de dépistage du cancer de la prostate, vient de dévoiler ses résultats pour le premier trimestre 2025. Le chiffre d'affaires a bondi de 22% par rapport à l'année précédente, atteignant ainsi 24,3 millions de dollars. Cependant, cette croissance s'accompagne d'une perte nette de 9,2 millions d'euros. À la fin du mois de mars, l'entreprise disposait encore de 65,7 millions de dollars en liquidités. Mais en avril, elle a dû effectuer un paiement conséquent à Exact Sciences, un acteur américain majeur dans le domaine du diagnostic moléculaire.

    Shurgard

    - Les actionnaires de Shurgard auront du 26 mai au 10 juin pour choisir la manière dont ils souhaitent recevoir leur dividende: en actions ou en espèces. Ils peuvent également opter pour une combinaison des deux. Le spécialiste de la location d'espaces de stockage versera un dividende brut de 0,59 euro par action pour l'exercice 2024. Le 23 mai, Shurgard dévoilera le prix d'émission des nouvelles actions ainsi que le ratio de conversion pour le dividende optionnel.

    Tessenderlo

    - Tessenderlo a dévoilé le lancement d'un ambitieux programme de rachat d'actions, plafonné à 31,3 millions d'euros. Ce plan audacieux vise l'acquisition de jusqu'à 1.050.000 actions.

  • KBC Group, Syensqo et les ventes au détail aux États-Unis

    Ce jeudi 15 mai, les investisseurs vont se focaliser sur les données des ventes au détail aux États-Unis, des données pour la production industrielle des deux cotés de l'Atlantique et un discours de Jerome Powell. KBC Group et Syensqo seront également au rapport, tout comme plusieurs entreprises allemandes (Deutsche Telekom, Siemens, Thyssenkrupp...).

    Lire | KBC, Syensqo, les ventes au détail aux États-Unis... Ce qu'il faut suivre ce jeudi 15 mai

  • "Les annonces récentes ont été positives mais l'incertitude demeure"

    Bonjour! La Bourse de New York a fini en ordre dispersé mercredi, le S&P-500 s'inscrivant, comme le Nasdaq, dans le vert après des mouvements en dents de scie, alors que les investisseurs ont temporisé dans l'attente de nouvelles données économiques après un début de semaine dynamisé par la désescalade commerciale entre les États-Unis et la Chine.

    • L'indice Dow Jones a cédé 0,21%, ou 89,37 points, à 42.051,06 points.
    • Le S&P-500, plus large, a pris 6,03 points, soit 0,10%, à 5.892,58 points.
    • Le Nasdaq Composite a avancé de son côté de 136,72 points (0,72%) à 19.146,81 points.

    Les investisseurs ont guetté de potentielles annonces supplémentaires concernant les droits de douane, tandis que le président américain Donald Trump a poursuivi sa tournée dans le Golfe en obtenant de la part de l'Arabie saoudite la garantie de 600 milliards d'investissements aux États-Unis.

    Par ailleurs, plusieurs firmes technologiques ont enregistré des gains après que Washington a annoncé mardi des accords liés à l'intelligence artificielle (IA) au Proche-Orient.

    Il continue de planer une incertitude à propos de ce que les dirigeants mondiaux, y compris le président Trump, vont dire à propos du commerce. Les droits de douane sont seulement suspendus et des accords définitifs restent à sceller. Les annonces récentes ont été positives et engendré un net rebond, mais l'incertitude demeure.

    Tim Ghriskey
    Stratégiste chez Ingalls & Snyder à New York

    À la suite des négociations commerciales engagées au cours du week-end par Washington et Pékin, les principaux indices de Wall Street avaient fini en nette hausse lundi puis avaient continué de progresser mardi, soutenus alors également par des données montrant une hausse modérée des prix à la consommation aux États-Unis le mois dernier.

    Le vice-président de la Réserve fédérale (Fed), Philip Jefferson, a noté mercredi que des données récentes sur l'inflation suggéraient des progrès vers l'objectif de 2% de la banque centrale américaine, mais a ajouté que les perspectives demeuraient incertaines.

    Pour sa part, le président de la Fed de Chicago, Austan Goolsbee, a estimé que les dernières données ne reflétaient pas forcément l'impact des nouveaux droits de douane.

    Les investisseurs vont désormais scruter les commentaires du patron de la banque centrale américaine, Jerome Powell, qui doit s'exprimer jeudi.

    ©REUTERS

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