Toujours pas d'avancée majeure pour l'adoption de l'Evoca de Biotalys aux États-Unis. Par contre, les Pays-Bas vont le recommander au sein de l'Union européenne.
Après avoir généré des ventes totales de 2,2 milliards de dollars l'année dernière, argenx entend bien devenir rentable en 2025, avec des coûts évalués à 2,5 milliards de dollars.
Jefferies passe à l'achat sur l'entreprise de semi-conducteurs Melexis et se montre optimiste pour le sous-secteur spécialisé dans l'automobile pour 2026.
Le patron de Nvidia a profité du salon technologique de Las Vegas pour présenter une ribambelle de nouveaux produits liés à l'intelligence artificielle. De quoi donner un coup de pouce à de nombreuses actions sur les bourses mondiales.
Jefferies prévoit un rebond du secteur immobilier en 2025 après une année 2024 morose, ce qui a fait les affaires des actions Aedifica, Montea et WDP à Bruxelles.
Selon le "January effect", les cours des actions, en particulier les petites capitalisations, ont tendance à augmenter en janvier. Faut-il encore y croire en 2025?
Après leur performance fulgurante en 2024, les Big Tech américaines pourraient voir la croissance de leurs bénéfices ralentir cette année, en sens inverse du S&P 500.
En 2024, les ETF ont attiré plus de 1.000 milliards de dollars aux États-Unis, un record historique. Cette tendance devrait se poursuivre en 2025, certains étant mieux partis que d'autres.
L'action Solvay va-t-elle encore grimper en 2025 comme l'an dernier? Pas sûr à la lecture de la note de Berenberg, qui a réduit son objectif de cours sur la valeur chimique.
En Corée du Sud, les chaebols ont réussi à combiner leur domination industrielle avec le phénomène Hallyu, créant ainsi une marque nationale capable de jouer sur tous les fronts... Sauf sur celui de la bourse.
Siemens Energy se retrouve en pole position pour tirer parti de la croissance de la demande énergétique en Europe. L'action a survolé tout le Stoxx 600 cette année.
Les investisseurs parient sur les actions des sociétés d'informatique quantique, alors que la technologie retrouve ses lettres de noblesse après de récentes avancées d'Alphabet.
La semaine a été extrêmement calme sur les bourses mondiales. Tokyo, rare place financière à être restée ouverte le jour de Noël, s’est distinguée par son dynamisme.
Les cours de plusieurs matières premières du petit déjeuner, comme le cacao ou le café, se sont envolés cette année. Les maladies et le climat ont créé un déséquilibre entre l'offre et la demande.
L'année 2024 aura été marquée par une légère contraction de l'activité mondiale des introductions en bourse, tandis que l'Inde et les États-Unis ont flambé.
La banque centrale turque a abaissé son taux directeur pour la première fois en près de deux ans. Un assouplissement monétaire qui pourrait se poursuivre l'année prochaine
S'il ne faut pas se détourner de toutes les actions européennes, Vincent Juvyns préfère pour 2025 les marchés américains. Ils sont "plus chers" mais aussi "plus défensifs", souligne-t-il.
Braodcom est sur le point d'enregistrer une année 2024 exceptionnelle à Wall Street. Au point que certains évoquent un "moment Nvidia" pour l'autre géant des semi-conducteurs.