Les investissements faramineux déployés par Donald Trump et ses techno-affiliés confirment la domination américaine dans l'intelligence artificielle. Mais ce règne ne peut pas être sans partage.
Les décrets signés à la mitrailleuse par Donald Trump comprennent l’épitaphe de tout un pan de la politique Biden: le renouvelable. Un défi pour notre industrie verte, fortement engagée aux États-Unis, qui réclame un sursaut européen.
La machine Trump vient de démarrer, et sa force centrifuge avec elle. L’Europe a devant elle deux options: se coucher et périr, ou faire valoir ses forces, pied à pied, face au président américain.
L’investiture de Donald Trump, ce lundi, formalisera l’inévitable: le monde obéira désormais à la loi du plus fort. La Belgique doit montrer qu’elle peut, elle aussi, monter sur le ring.
Bernard Gustin prend les rênes opérationnelles d’Elia, le gestionnaire belge du réseau de transport d’électricité. Outre ses actionnaires, le nouveau capitaine devra aussi rassurer les Belges.
Après le rachat des Delitraiteur par Colruyt, la réplique de Delhaize marque sa volonté de reprendre des parts de marché en ciblant les petits commerces.
Dans le combat de boxe qu’il a entamé avant même de monter sur le ring, Donald Trump nous a encore envoyé quelques beaux uppercuts cette semaine. Il vise (parfois) avec justesse.
Meta annonce la fin de la modération, Musk interviewe l’extrême droite allemande, les réseaux sociaux bousculent nos démocraties… Les Européens ne peuvent rester spectateurs face à ces évolutions.
Quentin Joris
, Responsable du service Économie/politique
Le départ des banques américaines de l'alliance pour le climat est dramatique pour la compétitivité des banques européennes. L'UE doit les accompagner pour qu'elles puissent miser sur des projets d'avenir.
Xander Vlassenbroeck
, Journaliste, Banques et Secteur financier
La participation de l’extrême droite à de nombreux gouvernements en Europe ne doit pas être prise à la légère. La banaliser constituerait une erreur, ostraciser les électeurs de ces partis en serait une autre.
Quentin Joris
, Responsable du service Économie/politique
Dix ans après l'attentat perpétré contre Charlie Hebdo, la liberté d’expression est plus que jamais un combat. La défendre est notre responsabilité collective.
Bon nombre d'investisseurs rêvent déjà d'une troisième année positive sur les marchés en 2025. Mais à trop voir le verre à moitié plein, ils risquent de boire la tasse.
Malgré un contexte dans lequel l'incertitude règne, 2025 pourrait se transformer en une année pleine d'opportunités où chaque entreprise, peu importe sa taille et son ambition, aura son rôle à jouer.
Alors que la météo se complique, le bateau Belgique navigue en pilotage automatique depuis six mois. Un capitaine à la barre et un équipage aligné, est-ce trop demander?
Sur l’échelle des menaces, 2024 a confirmé, voire transcendé 2023. Face à ses peurs, l’Europe doit se renforcer, plutôt que céder à cette haine que ne cesse d’alimenter l’extrême droite.
Les nouvelles tensions sur les prix énergétiques menacent non seulement nos économies, mais aussi notre intégrité morale et notre solidarité intra-européenne. À quand une véritable Europe de l'énergie?
Les jeunes pousses technologiques belges attirent les investisseurs, mais jouent à armes inégales sur l'échiquier mondial. Le sursaut politique en leur faveur se fait attendre.
Le débat sur l'indexation automatique des salaires mérite de la nuance. Le placer dans une perspective globale, en abordant l'ensemble des mécanismes de formation des salaires, mais aussi les aides existantes aux entreprises, s'impose.
Quentin Joris
, Responsable du service Économie/politique