Faire office de pionnier de la durabilité dans le secteur: telle est l’ambition de bpost group. Comment? Au travers d’une stratégie claire et de nombreuses initiatives concrètes. “Des entreprises telles que bpost group sont parfaitement placées pour contribuer à la transition vers la durabilité à l’échelle mondiale”, déclare Wayne Visser, expert en durabilité à l’Antwerp Management School et membre du Cambridge Institute for Sustainable Leadership.
Les parties prenantes attendent aujourd’hui des entreprises qu’elles réagissent de manière positive et proactive à l’impact environnemental de leurs activités économiques et qu’elles assument leur rôle social. Alors qu’auparavant, de nombreuses entreprises ne le faisaient que pour améliorer leur image, elles sont aujourd’hui de plus en plus convaincues de l’intérêt d’une stratégie de durabilité bien pensée. “Les études démontrent que les entreprises orientées vers le développement durable sont financièrement plus rentables”, déclare Wayne Visser. “En réduisant leur consommation d’énergie, les entreprises allègent leurs coûts. En utilisant des processus circulaires, elles optimisent leur chaîne d’approvisionnement. Elles peuvent également faire participer leurs employés, eux aussi engagés dans la durabilité. Et au travers de leur approche, elles attirent de nouveaux talents. Ce ne sont là que quelques exemples.”
Personnes, planète et proximité
Certaines entreprises vont même plus loin et prennent la tête du développement durable dans leur secteur. L’un d’eux est le bpost group. “La durabilité est ancrée dans notre ADN depuis toujours, nous améliorons constamment la durabilité de nos processus et de notre culture d’entreprise”, confirme Philip Mol, Head of Group Sustainability chez bpost group. “Notre impact direct sur la société est social et économique. C’est pourquoi nous nous concentrons sur trois piliers: les personnes, la planète et la proximité.” Le groupe étant devenu un prestataire de services international, ses ambitions pour les années à venir sont encore plus élevées.
Une meilleure qualité de vie
Un des exemples concrets de ces ambitions est l’Ecozone de Malines, où les colis sont livrés à pied, à vélo et avec des véhicules électriques. “Le nombre de kilomètres parcourus par colis diminue, il y a moins de camionnettes de livraison qui circulent et les émissions de CO2 sont réduites”, indique Philip Mol. “Il en résulte un air plus sain et une meilleure qualité de vie dans le centre-ville.”
“Aux Pays-Bas, la filiale DynaGroup se concentre entre autres sur les solutions commerciales circulaires. Les clients peuvent faire enlever, réparer et retourner leur smartphone défectueux dans les 24 heures. Nous prolongeons ainsi la durée de vie des téléphones portables et réduisons la quantité de déchets.”
Capitalisme participatif
À travers toutes ces initiatives, bpost group s’engage à créer une valeur ajoutée sur le long terme. Son objectif est de trouver un juste équilibre entre la rentabilité économique et l’offre d’avantages sociaux. Cela s’applique aux actionnaires, aux clients, aux fournisseurs, aux employés et aux communautés locales. Le récent materiality assessment est également un guide important à cet égard. Cette enquête, menée auprès de toutes les parties prenantes dans le monde entier, a permis de déterminer quels aspects de la durabilité sont importants pour elles. “Un bel exemple de capitalisme participatif”, estime Wayne Visser “entreprises comme bpost group sont parfaitement placées pour réaliser une transition globale vers la durabilité.” La raison? “Contrairement aux gouvernements et aux ONG, par exemple, les grandes entreprises ont la capacité, le capital, l’innovation et la rapidité nécessaires pour faire de la durabilité une réalité.”
Partenaires durables
D’autres entreprises choisissent aussi de plus en plus souvent des partenaires qui les aident à devenir plus durables. “Prenez l’exemple d’Active Ants, un centre d’e-fulfilment pour les boutiques en ligne”, illustre Philip Mol. “Là, nous utilisons des robots qui adaptent de manière optimale l’emballage au contenu; nous avons donc besoin de moins de carton et nous envoyons moins de transporteurs sur les routes.”